Source [Le Salon Beige] : Au Nicaragua, le gouvernement s’acharne à réduire au silence l’Église. Maria, une laïque nicaraguayenne, déclare à l’Aide à l’Eglise en Détresse :
« les manifestations de piété populaire telles que le chemin de Croix ou les processions ont été interdites et ne peuvent plus avoir lieu hors des paroisses, dans les rues, comme cela s’est toujours fait. Les prêtres sont persécutés, des personnes viennent à la messe pour enregistrer les homélies ; Il est impossible de demander publiquement la libération de Mgr Rolando Álvarez. Je suis membre d’un groupe de prière qui se réunit chaque semaine et, récemment, nous avons été observés par un paramilitaire manifestement armé d’un pistolet sous sa chemise ».
« Malgré cela, nous continuons à chercher des moyens de mortification, le sacrement de la confession, la prière du Chemin de Croix dans nos maisons, dans les paroisses, la participation à la messe le dimanche… Nous nous réunissons également pour prier en utilisant Zoom, WhatsApp ou en regardant des prédications sur YouTube ou Facebook ; en tant que peuple, nous continuons à avoir foi en notre Dieu «.
Retrouver l'intégralité de l'article en cliquant ici
- De retour en Algérie, l’écrivain Boualem Sansal...
- Notre-Dame de Paris : un nouvel écrin pour la c...
- Canada : un projet de loi vise le statut fiscal...
- Ordinariat traditionnel : face à une situation...
- Guerre scolaire : face aux attaques, il faut ré...
- Erdogan: le néo-sultan ottoman contre les chrét...
- L’art cherche « à lier le beau et le bien »
- Islam : la nouvelle offensive des “Hijabeuses”...
- La gestation pour autrui, y compris à l’étrange...
- “On se dit « encore une fois, encore une ». Et...