France

  • Export au format PDF

France

  • Beatrice Venezi conspuée à l’opéra de Nice, ou le fascisme des anti-fascistes

    Beatrice Venezi conspuée à l’opéra de Nice, ou le fascisme des anti-fascistes

    Article rédigé par Valeurs actuelles, le 04 janvier 2024

    Thème : France

    Source [Boulevard Voltaire] : Lors du concert gratuit du Nouvel an donné à l’Opéra de Nice, le chef d’orchestre italien Beatrice Venezi a essuyé quelques lazzis. Ce n’était évidemment pas sa direction d’orchestre dans l’exécution de valses viennoises qui était en cause : au cri de « pas de fascistes à l’opéra, pas d’opéra pour les fascistes », une poignée de militants ont ressorti de la naphtaline des slogans des années 1980 et tenté d’importer à l’opéra le petit théâtre anti-fasciste.

  • Le nucléaire français aurait permis d’éviter 25 années d’émissions totales de CO2

    Le nucléaire français aurait permis d’éviter 25 années d’émissions totales de CO2

    Article rédigé par Contrepoints, le 03 janvier 2024

    Thème : France

    Source [Contrepoints] : Le nucléaire émet 3 à 4 fois moins que l’éolien et 8 à 11 fois moins que le photovoltaïque, documente le GIEC…

  • Mort de Thomas : la maire de Romans-sur-Isère demande que le racisme anti-blanc soit réévalué par un juge

    Mort de Thomas : la maire de Romans-sur-Isère demande que le racisme anti-blanc soit réévalué par un juge

    Article rédigé par Valeurs actuelles, le 03 janvier 2024

    Thème : France

    Source [Valeurs actuelles] : Selon la maire de Romans-sur-Isère Marie-Hélène Thoraval, la justice devrait de nouveau évaluer si la mort de Thomas peut être liée à du racisme anti-blanc. Un terme qui ne doit d’ailleurs pas être “un vilain gros mot”.

  • Patrick Buisson chez Renaissance catholique

    Patrick Buisson chez Renaissance catholique

    Article rédigé par Renaissance catholique, le 02 janvier 2024

    Thème : France

    Source [Renaissance catholique] : Chers amis,

    Il y a un moment où, quoiqu’il nous en coûte, il faut savoir s’incliner devant les miracles du progrès. Deux siècles d’émancipation, deux siècles pendant lesquels on aura appris à l’homme à ne plus disposer de lui-même pour autre chose que lui-même. Deux siècles de Lumières ont débouché sur cette bonne nouvelle : l’humanité a enfin acquis les moyens techniques d’un suicide collectif.

    Les moyens d’un suicide collectif

    Ces moyens sont au nombre de trois :

    • Primo, les effets de l’activité humaine sur l’environnement qui pourraient, nous dit-on, aboutir à une situation telle que la vie sur terre risque de devenir impossible.
    • Deuzio, depuis la découverte de l’énergie nucléaire, l’humanité s’est dotée de la capacité de s’anéantir par une guerre atomique.
    • Tertio, avec la mise en circulation massive des techniques contraceptives puis abortives modernes, chaque génération est désormais en situation de décider s’il y aura une génération suivante ou non.

    Je sais bien qu’il est de bon ton dans certains milieux – les nôtres par exemple – d’opposer une élite corrompue et pervertie à un peuple opprimé et innocent, à un peuple exonéré de toute responsabilité dans ce qui lui arrive. C’est ce que j’appellerai l’un de ces produits manufacturés de la non pensée populiste. Comme si les peuples n’avaient pas les élites qu’ils méritent ! Renan disait dans sa célèbre conférence de la Sorbonne en 1882 : « L’existence d’une nation est un plébiscite de tous les jours ». Les résultats de ces plébiscites sont aujourd’hui implacables : c’est un suicide démocratique auquel nous assistons.

    Depuis le milieu des années 60, les Français ont fait progressivement le choix d’arrêter la reprogrammation de la vie. Comme l’a observé le grand historien Pierre Chaunu, le crach de la foi a été l’élément psychologique central du collapsus démographique. Tous les anthropologues vous le diront, la foi est la célébration de la fertilité, l’exaltation du génératif. Il y a là une corrélation absolue : la crise de la reproduction de la vie aura été la conséquence de la crise de la reproduction des systèmes de sens qui lui donnaient une signification, les grands systèmes qu’ils soient spirituels ou politiques. « La descente du religieux par l’ascenseur, écrit Chaunu, a entraîné une descente de la vie d’abord par l’escalier puis la tête la première par la fenêtre. » Dans les années qui ont immédiatement suivi le Concile, les Français, comme l’indiquent toutes les enquêtes de l’opinion, ont cessé non seulement de pratiquer mais aussi de croire dans un au-delà après la mort. Ils sont majoritairement devenus des sociétaires du néant, des sans-abris transcendantaux. En désertant l’espérance chrétienne, ils ont également rejeté la vie. En effet, brusquement, les années 1964-1965 mettent fin à la prodigieuse dynamique du baby-boom amorcée dès 1942. Un cycle s’achève alors dans la fermentation de changements majeurs : prééminence de l’affectif sur le collectif, primat du socio-culturel sur le biologique, dissolution du sens de la continuité historique qui laisse place à l’impérialisme du moi. « Je prends mes désirs pour la réalité car je crois en la réalité de mes désirs ». Tel était le slogan de mai 1968. Ce fut l’instant du malheur.

    Avec la loi Neuwirth et la loi Veil, la machine s’emballe. En moins de 10 ans, le taux de fécondité par femme dégringole de 2,9 à 1,9. Jusque-là, les couples obtenaient à peu près le nombre d’enfant qu’ils désiraient. A partir de la fin des années 70, ils ne parviennent plus à réaliser leur désir profond de descendance. 1,9 enfants obtenus pour 2,5 enfants désirés. L’implacable mécanisme du plébiscite à l’envers dont je parlais tout à l’heure s’enclenche. Le taux de fécondité passe en-dessous du seuil de renouvellement des générations, à partir de 1975.

    Délivré de toute finalité collective, de tout destin communautaire, l’enfant n’est plus cet investissement sur le temps visant à une reprogrammation de l’héritage, il n’est plus cette quête d’une surdurée, cette quête d’un au-delà qui transcendait les destinées individuelles, mais au mieux un enfant-objet, le signe d’une vie de couple réussie. Tout est prêt pour le grand remplacement. Le mot n’existe pas encore, mais la menace d’un effondrement démographique de la nation française, couplée à un transfert de fécondité vers les populations immigrées aura été la référence commune de nombreux députés gaullistes qui interviendront à la tribune de l’Assemblée lors du débat sur la loi Veil.

    Ce spectre du grand remplacement culturel et ethnique, qui ferait, selon le mot De Gaulle, de Colombey-les-Deux-Eglises “Colombey-les-Deux-Mosquées”, est le fil rouge qu’on retrouve tout au long des débats. Par exemple avec Michel Debré, qui dénonce avec la loi Veil une erreur historique, monumentale : « Cette loi expose la France au risque de diminuer et de vieillir alors que d’autres peuples à nos portes croissent et rajeunissent. » (Assemblée Nationale, deuxième séance du 27 novembre 1974). Avec la prophétie d’Hector Rolland, un député gaulliste : « La France a décolonisé. Elle est en train de se donner, avec cette loi, les moyens de se faire coloniser » en empêchant la perpétuation de la race. (Assemblée Nationale, troisième séance du 27 novembre 1974). En écho au Camp des Saints, célèbre fiction de Jean Raspail qui paraît à la même époque, l’économiste Alfred Sauvy, qui à l’époque est titulaire de la chaire de démographique sociale au Collège de France écrit : « Le pays qui recourrait systématiquement à l’immigration risquerait non seulement une révolte de ces mercenaires en situation inférieure mais probablement une sorte de décomposition par perte du sens de la vie. » (Automne 1973) Nous y sommes !

    Suprême ironie de l’histoire, c’est ce même Sauvy qui en annonçant une submersion de l’Europe en 1974, notait que la pilule, conçue pour arrêter la prolifération des peuples pauvres du Tiers-monde aura eu pour conséquence d’entraîner la stérilité volontaire des pays riches. Car telle est bien l’histoire ! La conclusion qui s’impose à lui comme elle doit aujourd’hui s’imposer à nous : un peuple qui sous-traite la fabrication d’enfants aux populations immigrées et n’a plus la volonté de se reproduire et de reprogrammer la vie est un peuple qui consent à être remplacé et à sortir de l’histoire. Il en porte, quelque soient ses excuses par ailleurs, la responsabilité historique.

    L’Islam n’est pas la cause de nos malheurs

    L’urgence commande de cesser de nous mentir. Non ce n’est pas la faute de l’Islam si nos églises se sont vidées, non ce n’est pas la faute de l’Islam si les Français ont cessé de se reproduire. Tout indique que ce pays réel, ce pays fantasmé dont nous aimions à célébrer hier le plébiscite quotidien en faveur de la nation, ce pays-là n’existe plus ! Et il ne peut renaître que s’il prend conscience des causes profondes de sa décomposition. Je lisais cette semaine dans la presse que 90% des Français, selon un sondage Harris Interactive, se déclarent aujourd’hui favorables à l’inscription du droit à l’IVG dans la Constitution. Et savez-vous dans quel électorat le score d’adhésion à cette idée est le plus élevé ? Celui de la France Insoumise ? Non. Celui du Rassemblement National ! 91% à l’unisson de Marine Le Pen adhérent à cette idée, confirmant d’ailleurs la métamorphose sociologique et idéologique de cet électorat, qui passe du statut de “peuple-nation” à celui de “peuple-classe”, selon une conception purement et exclusivement matérialiste. Ainsi donc, la France s’apprête à inscrire dans la loi suprême ce qui est à l’origine de son déclin. Nous nous apprêtons à faire de notre sortie de l’histoire un principe de vie commune.

    Les lois Neuwirth et Veil sur la pilule, car il y a eu une loi Veil sur la pilule qui remboursait cette dernière, en 1974, votées officiellement pour être un remède à l’avortement, se sont révélées être en réalité leur avant-propos. La loi Veil qui voulait que l’IVG reste une exception, un ultime recours, a ouvert la voie comme le prophétisait Jean Foyer en 1974, à l’avortement de masse, à l’avortement sans limite. Jamais politique publique n’aura connu un aussi cinglant échec par rapport à ses objectifs initiaux. Jamais un tel fiasco n’aura été aussi bruyamment louangé, vous l’entendez de toute part. En sacralisant ce nouvel ordre moral, nous avons sacralisé la triade de notre suicide collectif : avortement, mariage homosexuel et demain, bien sûr, euthanasie.

    Ce plébiscite n’est ni plus ni moins un non à l’avenir, un refus de la vie et de la continuité historique, la consécration d’une culture de mort, le droit à une mort autodéterminée. Voilà donc le stade terminal de l’émancipation promise ! L’homme non plus seulement émancipé de la nature mais aussi émancipé de la vie. Viva la muerte ! Tel est l’aboutissement des Lumières, tel est le cri de ralliement que nous propose la modernité, telle est notre nouvelle signature civilisationnelle.

  • Saint-Sylvestre : ces violences que Gérald Darmanin refuse de voir

    Saint-Sylvestre : ces violences que Gérald Darmanin refuse de voir

    Article rédigé par JDD, le 02 janvier 2024

    Thème : France

    Source [JDD] : La nuit du 31 décembre au 1er janvier a été entachée par de nombreuses agressions que le ministre de l’Intérieur a omis dans son point presse. Le JDD fait le point sur une nuit sanglante.

  • Comment le Qatar a conquis la France

    Comment le Qatar a conquis la France

    Article rédigé par Valeurs actuelles, le 22 décembre 2023

    Thème : France

    Source [Valeurs actuelles] : D’un petit désert au milieu du Golfe persique, peuplé de tribus rivales, le Qatar est devenu, grâce à des gisements providentiels de pétrole, de gaz, et à un sens des affaires très développé, l’un des grands maîtres de la mondialisation. Mais le Qatar n’est pas qu’un homme d’affaire redoutable, c’est aussi un véritable prédateur idéologique proche des Frères musulmans dont la propagande se répand à travers le monde. Du rachat du PSG au développement d’AJ+ en France, le Qatar s’installe désormais confortablement à la table des dangereux influenceurs anti-Occident.

  • La nouvelle idée du gouvernement pour dépenser 46 milliards d’euros supplémentaires

    La nouvelle idée du gouvernement pour dépenser 46 milliards d’euros supplémentaires

    Article rédigé par Contrepoints, le 18 décembre 2023

    Thème : France

    Source [Contrepoints] : Le contribuable sera saisi d’effroi quand il comprendra que les sommes non versées à ceux qui pourraient y avoir droit représentent 46 milliards d’euros.

  • Protections sociales, épargne... les symptômes chiffrés qui diagnostiquent une « Pantophobie » aiguë chez les Français

    Protections sociales, épargne... les symptômes chiffrés qui diagnostiquent une « Pantophobie » aiguë chez les Français

    Article rédigé par Atlantico, le 17 décembre 2023

    Thème : France

    Source [Atlantico] : La Pantophobie, pour les psychanalystes, c'est la peur de tout... les Français sont les plus malades du monde. Quand on ajoute à la protection sociale l'addiction à l'épargne ou à la dépense payées par de la dette publique, la France est atteinte d'une obsession de la protection qui contribue à son asphyxie

  • La révolte gronde chez les paysans

    La révolte gronde chez les paysans

    Article rédigé par Boulevard Voltaire, le 15 décembre 2023

    Thème : France

    Source [Boulevard Voltaire] : En une France marchant sur la tête, la nouvelle jacquerie paysanne a débuté avec des panneaux d’une dizaine de milliers de villages dévissés pour être ensuite revissés à l’envers. À l’origine de cette initiative ? Les Jeunes Agriculteurs (JA) et la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA). Depuis, la colère monte. Sourde et profonde et ne demandant qu’à éclater au grand jour, la Confédération paysanne se mêlant désormais de la partie.

  • À Sciences Po Paris, le wokisme pris à son propre piège

    À Sciences Po Paris, le wokisme pris à son propre piège

    Article rédigé par Le Figaro, le 14 décembre 2023

    Thème : France

    Source [Le Figaro] : ENQUÊTE - Entendu dans une affaire de violences conjugales avant d’être mis en retrait, le directeur de l’IEP, Mathias Vicherat, se voulait intransigeant sur ces sujets depuis son intronisation.

  1. 10
  2. 11
  3. 12
  4. 13
  5. 14
  6. 15
  7. 16
  8. 17
  9. 18
  10. 19
  11. 20
  12. 21
  13. 22
  14. 23
  15. 24
  16. 25
  17. 26
  18. 27
  19. 28
  20. 29
  21. 30
  22. ...
  23. 226