Editorial
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Pilate et Judas, le retour !
Toute personne objective ne peut que constater que la France est à la croisée des chemins, et que le vote du 7 mai prochain représente un enjeu de civilisation, entre :
- l’accélération de la mise en place d’une France multiculturelle déstructurée en profondeur, et autoritairement agglomérée à une Union européenne anti-démocratique,
- ou le retour d’une France souveraine, maîtresse de son destin, résorbant peu à peu les désastres politiques, économiques, sociaux, moraux et culturels du demi-siècle passé.
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Un choix de civilisation
Le 7 mai prochain, les Français auront à se prononcer de façon simple sur l’avenir de leur pays, en répondant à la question suivante : souhaitez-vous que la France historique perdure, ou préférez-vous qu’elle se transforme en une région multiculturelle soumise à une Europe centralisée, possédant tous les pouvoirs ? Car telle est la question fondamentale.
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LR : l’indispensable suicide
Les Républicains sont devenus une formidable machine à perdre. La victoire de Macron en est une preuve supplémentaire. La victoire de la « droite » fut une évidence de l’été 2012 à janvier 2017 : en trois petits mois, tout a basculé, et que triomphe Macron !
Si Pierre a renié trois fois le Christ en attendant plusieurs heures angoissantes pour lui, Les Républicains n’ont pas eu la délicatesse d’attendre : ils ont trahi leurs électeurs dans les minutes qui ont suivi 20 heures, dimanche soir. Une trahison massive, implacable, définitive, quasi-unanime : oui, il faut voter pour le pire des candidats, le futur Grand Maître de la déconstruction définitive de la France.
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Quels programmes, pour quelles attentes ?
Lorsque nous avons commencé à travailler, en 2014, sur l'élection présidentielle de 2017, nous avons consulté plusieurs milliers de nos sympathisants, et avons élaboré avec leur concours et celui de nombreux experts vingt mesures essentielles de redressement. Celles-ci ont été consignées dans un Manifeste, que nous avons envoyé à tous les candidats en leur demandant d'en intégrer le plus grand nombre dans leur programme. Parallèlement à cela, nous les avons fait sonder par l'IFOP, pour avoir la confirmation que ces mesures étaient exigées par les Français. À la veille du premier tour, quelles conclusions en tirer ?
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IFOP : un sondage inquiétant
Notre sondage IFOP-Liberté politique du 30 mars 2017 est porteur de deux enseignements, tout aussi préoccupants l’un que l’autre.
Alors que les Français, qu’ils soient de droite ou gauche, plébiscitent la plupart des mesures de notre Manifeste, la classe politique, censée les représenter, s’en détourne assez nettement.
D’autre part, nos mesures les moins acceptées par les Français comme par les candidats sont relatives à la défense et à la protection de la personne : avortement, euthanasie, mariage. Ce qui est dramatique, puisqu’il s’agit d’enjeux absolument fondamentaux et non-négociables.
Nous avons enfin le plaisir de vous annoncer que nous sommes en train d’actualiser la notation des candidats. Le résultat définitif vous sera communiqué dès mardi prochain. Comme dans les sondages, les écarts semblent se resserrer…
Pour retrouver l’analyse globale du sondage IFOP – Liberté politique par François Billot de Lochner, veuillez cliquer sur la vidéo ci-dessous. -
Les Français sont-ils fascistes ?
Le système politico-médiatique a adopté, depuis plusieurs dizaines d’années, un système d’imposition de ses idées d’une extrême simplicité : tous ceux qui osent s’aventurer en dehors du « politiquement correct » sont tout simplement des extrémistes, des fondamentalistes, des intégristes, et très probablement des fascistes. A cet égard, les mesures essentielles de redressement figurant dans notre Manifeste de la dernière chance ont très certainement été cataloguées comme « fascisantes » par beaucoup. Mais se pose un problème compliqué : il se trouve que ces idées « extrémistes » correspondent à ce que pensent majoritairement les Français. C’est ce que révèle un sondage IFOP*, commandé par Liberté politique, sur les vingt-deux mesures dudit Manifeste. Les résultats de ce sondage sont tout à fait extraordinaires, car ils permettent de poser la question : les Français seraient-ils donc fascistes ?
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Je pense(au sexe), donc je suis(obsédé)
Si nous mettons la dernière main à une action en justice contre le ministère de l’Éducation nationale et Madame le Ministre Vallaud-Belkacem pour leur action en matière « d’éducation à la sexualité », c’est parce que derrière ce vocable doucereux se dissimule en fait une consciencieuse opération de perversion des plus jeunes. Par la normalisation de l’homosexualité, l’incitation à une sexualité récréative ou la promotion de la théorie du genre, les élèves subissent un matraquage totalitaire qui ne leur laisse aucune échappatoire. Les éléments factuels actuellement rassemblés par nos avocats sont absolument accablants et alimentent l’assignation, en cours de rédaction. Ce combat est fondamental : il en va de l’intégrité physique, psychologique et spirituelle de nos enfants, futurs adultes.
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Elections 2017 : et la France, dans tout ça ?
Le déroulement actuel de la vie politique française n’est pas rassurant pour l’avenir de notre pays. Quand tout se détériore à vive allure, la plupart des candidats à la présidentielle présentent des programmes faibles et incomplets.
En effet, nous venons d’établir la notation des programmes en question, que vous pourrez découvrir ci-après : elle n’est pas rassurante. Globalement, les programmes « ne sont pas à la hauteur », pour parler poliment.
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Sortir de l'euro ?
La question de l’euro est devenue dogmatique : y rester est une saine évidence qui ne se discute pas, en sortir est une aberration traduisant une déficience mentale, voire des tendances fascisantes. Les élites politico-médiatiques ferment ainsi la porte à toute discussion sereine sur le sujet. À l’exception de Marine Le Pen, tous les leaders des grands partis politiques affichent leur détermination sans faille : l’euro est un acquis définitif. Et pourtant…
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Hollande, les Maçons et la Mort.
Le premier personnage de l’État vient d’être reçu en grande pompe par l’Église Maçonne, à savoir le Grand Orient de France, église qui possède son clergé, ses fidèles, ses textes « sacrés », ses moyens d’action et qui, en outre, reste une société secrète. Au nom de quoi le Président de la République honore-t-il une telle secte, par sa présence et par son discours ?