Source [Valeurs actuelles] À l'approche de Noël, l'association Éveilleurs d'Espérance appelle dès ce dimanche l’ensemble des chrétiens, partout en France, à reprendre possession de leurs églises.
Après une très forte mobilisation des catholiques durant tout le week-end pour réclamer la reprise des messes, la concertation qui a eu lieu ce lundi 16 novembre, entre le Premier ministre Jean Castex, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin et les représentants des cultes s’est soldée par un refus de la reprise des cérémonies religieuses, envisagée au mieux début décembre en fonction de la situation sanitaire.
Cette mobilisation a parfois choqué, comme s’il s’agissait de la part des catholiques d’un manque de sens du bien commun, d’un refus de participer à l’effort collectif contre l’épidémie sous prétexte de conserver leurs privilèges. Car dans l’esprit de beaucoup, la messe n’est qu’un rassemblement collectif de croyants qui ont besoin de se retrouver pour partager un moment en commun et chanter ensemble. Face à cette situation ambiguë, les Éveilleurs tiennent à rappeler quelques vérités essentielles.
La messe n’est pas un simple moment de partage des hommes entre eux, mais le culte suprême rendu à Dieu, par le renouvellement du sacrifice du Christ. En y assistant, le fidèle ne s’unit pas d’abord à son voisin, mais à son Dieu et Sauveur. C’est pourquoi penser la mobilisation pour l’assistance à la messe comme un besoin émotionnel des croyants est une incompréhension totale de la foi catholique et du sens de leur revendication.
Retrouvez l'intégralité de l'article en cliquant ici
- L’enfant giflé par François Bayrou en 2002 est...
- François Bayrou : fossoyeur du macronisme et sa...
- Coalitions, stratégies : le NFP se fissure sur...
- Guillaume Bernard : Le RN, dindon de la farce d...
- « La finalisation de l’accord UE-Mercosur est e...
- Le haut-fonctionnaire « woke », Martin Ajdari,...
- Automobiles : Vers un malus masse et CO2 rétroa...
- « Twitter, faut le réguler ou l’interdire, c’es...
- Dominique Perben : « Le Syndicat de la magistra...
- En Nouvelle-Calédonie, il est urgent d’attendre