The dark knight rises

Cet été sont sortis en salles deux des films de super-héros les plus attendus de l’année, The Amazing Spiderman et The Dark Knight Rises de Christopher Nolan. Deux superproductions qui viennent renforcer le genre cinématographique des super-héros.

Le genre des super-héros s’enrichit cet été de deux opus majeurs. Le premier, sorti au début de l’été, est le reboot très attendu de la série Spiderman. Un redémarrage qui fait table rase des précédents films et développe un univers plus sombre et plus réaliste.

Le second n’est autre que la fin en apothéose de la trilogie de Christopher Nolan contruite autour du très sombre et énigmatique Batman : The Dark Knight Rises. Un film consacré par le public. Avec un peu moins de 2 millions d’entrées dès sa première semaine d’exploitation, c’est le second meilleur démarrage de 2012 (après La vérité si je mens 3) et le troisième meilleur démarrage financier de tous les temps aux Etats-Unis.

Ces deux films ont beaucoup en commun et appartiennent indéniablement au même genre cinématographique. Un genre qui tend à se développer et occupe de plus en plus d’espace dans notre culture. Pour comprendre les tenants et aboutissants de ce courant en plein essor, Liberté Politique avait publié à l’occasion de la sortie du film Avengers (meilleur démarrage financier de tous les temps aux Etats-Unis) une série d’articles dédiée aux super-héros.

En cette période estivale propice aux divertissements (surtout quand le soleil n’est pas au rendez-vous), il peut être bon de se replonger dans ces travaux afin de susciter un juste questionnement sur ces films, pouvoir en discuter avec les adolescents très friands de ce type d’aventures et créer ainsi une distance critique saine et féconde.

Liberté Politique

 

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