Source [Causeur] : Structure paramilitaire marxiste vérolée par la corruption, l’organisation sahraouie conserve son pouvoir de nuisance grâce au soutien inconditionnel de l’Algérie à son égard.
Le 10 mai 1973 naissait en Mauritanie le Front Polisario, avec pour but de s’immiscer dans la décolonisation du Sahara marocain alors occupé par l’Espagne de Franco. Après la mort de celui-ci en 1975, les troupes espagnoles quittent la région. Le 1er mai 1977, deux coopérants français sont tués en Mauritanie par le Polisario. Huit autres sont enlevés. Le président Valéry Giscard d’Estaing réagit en déclenchant au mois de décembre de la même année, l’opération « Lamantin ». Des avions Breguet Atlantic de l’Aéronavale, des parachutistes et des avions de chasse Jaguar de l’Armée de l’Air sont engagés et les otages sont libérés le 23 décembre. Depuis, le Polisario a pris ses quartiers à Tindouf, dans l’Ouest algérien. Vestige de la Guerre froide, il bénéficie toujours du soutien du PCF ou, en Espagne, de Podemos.
Nul ne peut contester le soutien constant apporté par l’Algérie au Polisario depuis sa fondation. A travers lui, le pouvoir FLN d’Alger est parti au conflit, malgré ses dénégations. Dans les camps de Tindouf, au mépris du droit humanitaire, l’Algérie a renoncé à exercer sa souveraineté sur des populations sahraouies qui n’ont jamais fait l’objet d’un recensement. Le détournement de l’aide humanitaire, principalement européenne, est avéré par des rapports de l’Union européenne et de l’ONU. Comme l’aide financière algérienne, elle permet aux dignitaires du Polisario de s’assurer un train de vie conséquent.
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