Le nouveau « gouvernement » (entre guillemets, car en fait de gouvernement…), tellement « nouveau » qu’il renouvelle Darmanin, Dupont- Moretti et Lemaire, selon le bon vieil adage : on ne change pas des nullités en marche, le « nouveau gouvernement », donc, est illuminé par deux personnes qui vont occuper des postes hautement stratégiques, à savoir l’Education nationale et la Culture. Pourquoi ces postes sont-ils si stratégiques ? Par ce que l’Education nationale et la Culture formatent l’esprit français, de trois ans à quatre vingt dix neuf ans. Ceux qui tiennent ces deux ministères tiennent en fait l’avenir de la France.
Et là, Macron a fait très fort, a fait encore plus fort que tout ce que l’on pouvait imaginer : il confie très officiellement, au vu et au su du monde entier, la destruction de la France éternelle à deux personnes qui affichent un objectif clair : détruire la France éternelle.
Commençons par le garnement à qui est confiée l’Education nationale. Par son nom sénégalais et son origine sénégalaise, il incarne à l’évidence la France éternelle. Qu’il soit gauchiste jusqu’au bout des doigts, rien à dire sur le sujet : il va diriger un ministère lui-même gauchiste jusqu’au bout des doigts. Et donc, le célèbre adage : qui se ressemble s’assemble trouve une application naturelle. En revanche, qu’il appartienne officiellement au dramatique ultra gauchiste et ultra raciste CRAN, le trop célèbre Comité représentatif des associations noires, dont le sympathique objectif est de détruire purement et simplement toute trace de race blanche, au bénéfice, bien sûr, de la race noire, en dit suffisamment long sur ce qu’est ce bonhomme. D’ailleurs, il s’était opposé à l’époque à ses collègues politiques lorsqu’il avait été question de supprimer le concept de race : il avait estimé que cela pouvait porter atteinte au noble combat raciste mené par le CRAN. Ainsi donc, le ministère de l’Education nationale va très probablement se doter d’une nouvelle mission : éradiquer la race blanche…
Passons à la Culture. Le nouveau ministre est une franco-libanaise. Une belle double nationalité ! Qu’elle soit gauchiste et qu’elle ait travaillé pour Hidalgo, rien que de très normal, il ne faut pas s’en étonner. En revanche, le symbole de sa nomination est très fort. Elle est française, mais pas seulement, ou pas trop : le Liban est sa seconde patrie, mais peut-être sa première, nul ne le sait vraiment. Si l’on regarde de près son pedigree culturel, nul doute n’est possible : pour cette personne, il n’y a pas de culture française, mais une culture monde. La conclusion logique d’une telle nomination est qu’il faut détruire méthodiquement ce qu’il reste de culture française, au profit d’une culture monde, qui peut être une culture immonde…
Plus que jamais, nous allons devoir lutter de toutes nos forces pour éviter l’irréparable, dont rêvent nos déconstructeurs, à savoir la mort de notre cher vieux pays.
François Billot de Lochner
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