Source [Breizh-Info] : La commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures du Parlement européen a approuvé un rapport qui impose des règles sur la publicité politique. Il restreint la manière dont les partis politiques sont autorisés à faire de la publicité sur les réseaux sociaux. «Les partis nationalistes progressent en Europe et cela inquiète l’élite mondialiste au pouvoir. C’est pourquoi ils veulent empêcher ces partis de communiquer librement», affirme Tom Vandendriessche, député européen du Vlaams Belang dans une tribune à lire ci-dessous.
Ce qui est nouveau, c’est que seules quatre catégories peuvent être utilisées pour sélectionner des groupes cibles spécifiques pour les publicités politiques. Ceci est encore renforcé pendant les périodes électorales, 60 jours avant les élections. Seuls la langue et le lieu peuvent alors être utilisés pour faire de la publicité. Avant le surgissement des réseaux sociaux, les médias traditionnels avaient le monopole de l’information. Internet et les réseaux sociaux ont fait éclater ce monopole. En conséquence, l’élite dominante a perdu le contrôle de l’information et donc elle ne pouvait plus influencer de la même façon le comportement électoral des gens.
Le fait est que les publicités en ligne sont un moyen simple, accessible et écologique de communiquer directement avec l’électeur, mais bien sûr l’élite ne veut pas cela parce qu’elle ne veut pas perdre son pouvoir.
L’UE prétend être un parangon de la démocratie pluraliste et elle accuse constamment la Hongrie et la Pologne de restreindre les droits fondamentaux de leurs citoyens, mais l’UE elle-même essaie maintenant de faire taire les partis politiques d’opposition. Les partis d’opposition, notamment en Belgique, sont littéralement bannis des médias traditionnels. Le Vlaams Belang obtient à peine 1 % de temps d’antenne à la télévision et il n’est même pas autorisé à faire de la publicité dans les médias traditionnels. Maintenant, ils veulent aussi nous bannir des réseaux sociaux. L’élite dirigeante, arrogantes et dominatrice ne veut pas de véritable débat politique. Elle veut des débats bidons entre politiciens qui sont tous d’accord sur ce qu’ils pensent être l’essentiel, c’est-à-dire par exemple de ne jamais remettre en cause l’accueil massif de migrants.
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