Le fabuleux destin de Marlène Schiappa, auteur porno devenue ministre

Source [Riposte Laïque]  

Que recouvre le concept de « Législateur » ? Une scène se met en place sur laquelle se profile une multitude d’acteurs dont le rôle de chacun reste à déterminer.  Qui fait quoi ? Qui fait la loi ?

Si vous ne le saviez pas, maintenant, vous êtes au courant.

En France, c’est un auteur porno :

« Malmener une femme, c’est entrer dans son espace intime » déclarait-elle vendredi. 
Mais Marlène, si tu leur ouvres si grand la porte ?

J’ai nommé Marlène S qui, sous un pseudonyme, a publié plusieurs âneries louchonnes, dont plusieurs aux frais du contribuable français. J’ose à peine en citer les titres (personnes sensibles évitez) :
Sur Amazon, Marlène Schiappa est référencée comme l’auteur du premier livre de Marie Minelli, intitulé « Osez réussir votre divorce ». Ont suivi « Osez les sexfriends », « Les filles bien n’avalent pas », « Sexe, mensonges et banlieues chaudes » ou « 150 endroits où avoir fait l’amour au moins une fois dans sa vie »…

Pour rappel, Marlène Schiappa avait publié en 2011 un guide « humoristique » appelé « Osez l’amour des rondes ». Par simple pudeur, je vous en épargne la page de couverture.

L’Express recense les nombreux gribouillages de Marie Minelli qui ressemblent, comme de simples copier-coller, à des articles publiés peu avant par Marlène sur Yahoo. En 2011, elle déclarait dans une interview “écrire aussi des nouvelles et de la fiction sous pseudonyme”. Le cabinet de Marlène Schiappa nie formellement. Et on comprend pourquoi.

Une femme qui écrit des obscénités, ça s’appelle une… Atlantico n’y va pas avec le dos de la cuillère quand il s’agit de qualifier la secrétaire d’Etat à l’Egalité hommes-femmes.

Je me permets de citer ici la grande Madame Filio et son article du 2 juillet de cette année :
J’en veux pour preuve les exploits d’une Marlène Schiappa qui, en plus de son poste de secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes qui en soi est déjà une gageure, semble avoir le temps de se déchaîner à tout va sur twitter, tout en écrivant moult livres à la suite :
– Les lendemains avaient un goût de miel juin 2017
– Laïcité, point janvier 2018
– La culture du viol février 2018
– Le deuxième sexe de la démocratie février 2018
– Si éloignée de vous (lettres à mes filles) mai 2018
Et de venir faire la promo du petit dernier dans ONPC l’émission débile du samedi soir où une grande partie de la bobocratie de France et de Navarre semble se donner rendez-vous. Mais elle bosse quand pour la France alors ?
Quant à la «Presse féminine», elle écrit : les 300 pages défilent et le récit se rapproche rondement de la littérature de gare. Surtout lorsque la narration d’un quotidien éreintant se mêle à celle des rendez-vous amoureux de l’incroyable nymphomane. « Quand le shampoing coule sur mes épaules, mon ventre, mes jambes, j’en ai partout, je me lave les mains avec ce liquide blanc, je patauge dedans ». Voilà l’une de ces confessions gênantes déblatérées par la secrétaire d’État.
Marlène Schiappa a-t-elle le droit d’écrire des livres cochons en exercice ? A cette question, L’Obs répond par : «Écrire, pourquoi pas, mais faut-il publier ?»

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