Source [Causeur] : Entre les policiers qui doivent accompagner les enfants à l’école pour assurer leur sécurité, les services de pédiatrie aux abois et le bourrage de crâne LGBTQ+, il est grand temps que la France réagisse pour préserver ses enfants.
La France ne protège plus ses enfants. A Paris dans certains quartiers le danger est tel que la police doit les accompagner sur le chemin de l’école, qui est aussi le chemin du trafic et de la consommation de drogues dures. Le crack, entre autres, génère des zombies capables de violence, d’exhibition, de comportements barbares. Avec ces gardes du corps on évite le pire, peut-être, mais que se passe-t-il dans le cœur de ces enfants angoissés, et de ces parents désemparés ?
La France ne protège plus ses enfants. A Mayotte ils se font agresser à coups de machette dans les cars scolaires. Des écoles s’entourent de barbelés dans l’espoir de se protéger de la voyoucratie générale. Des suppliciés sont démembrés avant d’être tués. Dans la capitale même, la mort est mise en scène pour semer l’effroi. Les Français n’en peuvent plus et se sentent abandonnés face à une invasion migratoire incontrôlée, voire encouragée, puisque pour faire face à la pression sur les maternités (12000 naissances prévues en 2022) la construction d’un nouvel hôpital est programmée.
La France ne protège plus ses enfants. Elle se donne à quiconque frappe à sa porte. Elle se donne même à ceux qui forcent sa porte ou qui passent par la fenêtre, et qui se conduisent chez leur hôte comme s’ils étaient chez eux.
Et il faut, par exemple, supporter les supporters du Maroc, qui sous prétexte de victoire footballistique s’autorisent à envahir les rues, les boulevards et les avenues, comme si le pays où ils vivent n’existait pas. Cela avec le cortège de fusées, de mortiers, de rodéos, voire d’émeutes qui accompagnent toujours ce genre de joyeusetés.
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