Source [Le Figaro] : L’ancienne ministre de la Santé, au début de la pandémie de coronavirus, mise en examen pour «mise en danger de la vie d’autrui», dénonce l’inaction du gouvernement et du chef de l’État.
À l’Élysée, mardi, les anciens membres du Conseil scientifique ont reçu la Légion d’honneur des mains du président de la République pour saluer leur implication dans la gestion du Covid-19. Près de trois ans après le déclenchement de cette crise, elle rôde toujours dans les allées du pouvoir.
La semaine dernière, Édouard Philippe a été placé sous le statut de témoin assisté par la Cour de justice de la République (CJR) pour «mise en danger de la vie d’autrui» et «abstention volontaire de combattre un sinistre». Le premier ministre de l’époque échappe à la mise en examen, contrairement à son ancienne ministre de la Santé pour les mêmes griefs.
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Un an après sa convocation devant la CJR, Agnès Buzyn a choisi de se défendre sans fard mardi dans Le Monde . «Non seulement j’avais vu mais prévenu. J’ai été, de très loin en Europe, la ministre la plus alerte. Mais tout le monde s’en foutait», lance-t-elle en mettant sur la table un manuscrit non publié où elle a relevé a posteriori toutes ses alertes...
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