Les marques de vêtements Petit Bateau et Frangin Frangine, références pour un certain nombre de familles chic et branchées, enfourchent le cheval de la propagande LGBT pour leurs dernières campagne de communication.
Mise en scène de deux femmes avec leur bébé, "fruit de leur amour", chez Petit Bateau, photo de deux papas en pyjama à carreaux au pied du sapin chez Frangin Frangine. Il ne s'agit pas d'un acte isolé, mais bien d'une campagne complète sur les réseaux sociaux, où se décline une série complète de publications, dans le cas de Petit Bateau, aller jusqu'à vanter les mérites de la lactation induite (à coups d'hormones, ce que l'article se garde bien de préciser), à des milliers de kilomètres de leur fond de commerce. Une offensive politique en bonne et due forme.
L'on peut toujours protester et écrire un message bien senti sur la page de ces deux marques, in fine bien contentes du buzz ainsi favorisé : une mécanique bien huilée...
Il n'y a qu'une réponse à apporter : le boycott. Mais un vrai boycott, de longue durée, pas celui qui va consister à protester un jour, mais à faire une commande la semaine suivante sur leur site, parce que "quand même, leurs produits sont sympas."
Au passage, notons l'argumentaire profondément déprimant de la pub Petit Bateau, destinée à nous vanter les mérites du couple lesbien : "L'amour n'a pas de goût, pas d'odeur, pas de visage..."
Quelle tristesse ! Au moins, le caractère parfaitement déshumanisant de leur projet apparaît clairement.
Constance Prazel
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