Coup de projecteur
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Il y a 40 ans mourrait Paul VI
Thème : Église
Source [Info Catho] C’était il y a 40 ans. Le 6 août 1978, le pape Paul VI mourrait. Après un pontificat débuté par la poursuite du concile Vatican II, Paul VI devait traverser une époque tourmentée marquée par les crises et les contestations au sein de l’Église. Outre l’effondrement de la piété, ce fut aussi la remise en cause de points importants de la foi catholique ou le départ massif de prêtres du sacerdoce. À défaut d’endiguer ces phénomènes, le pape Paul VI put les déplorer, quelquefois de manière lucide. C’est de lui que vient l’expression, si actuelle, des “fumées de satan”. Son testament est d’une franchise sur les risques d’une Église qui peut perdre la foi. On peut en retenir cet extrait :
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Julien Dray candidat aux Européennes pour faire de l’avortement “un droit européen pour chaque femme”
Thème : Société
Source [Nouvelles de France] La bête immonde socialiste bouge encore :
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Un Medef à réinventer pour Geoffroy Roux de Bézieux
Thème : Economie
Est-il utile, représentatif, efficace ? A l’heure d’Emmanuel Macron, le Medef se trouve confronté à la nécessité de se réinventer. Et, après quelques années de « bataille des idées » entre Pierre Gattaz et François Hollande, c’est un entrepreneur d’un tout autre genre qui va devoir relever le défi. Un serial entrepreneur, même, aux multiples facettes : Geoffroy Roux de Bézieux est désormais le dixième président du Medef, et il va devoir tout autant changer l’image du mouvement, très décrié, que son fonctionnement, des plus administratifs.
A 56 ans, l'homme a eu des vies aussi nombreuses que riches : ex L’Oréal, il crée The Phone House en 1996, revend le groupe, crée une nouvelle société, la revend encore, dirige Virgin Mobile pour Richard Branson, ainsi que Croissance Plus, le syndicat des entreprises de croissance. Puis il fonde, avec Pierre Kosciuzko-Morizet (créateur de Priceminister) un fonds d’investissement qui financera Blablacar… Avec son épouse Sabine, rencontrée à l'Essec, il crée également Notus Technologies et rachète notamment l'entreprise d'huile d'olive haut de gamme Oliviers and Co. Ce fan de triathlon, de rugby, ex commando marine, est aussi père de quatre enfants, catholique pratiquant, et gère avec son épouse la fondation Araok, qui soutient notamment les Apprentis d'Auteuil et les orphelins du Niger.
En sus de tout cela, il lui faudra désormais transformer le Medef pour aider à transformer les entreprises, dans un contexte de réformes gouvernementales majeures, à accompagner comme à amender… Son premier défi : faire que le mouvement patronal soit désormais financé à 100% par ses adhérents. En effet, sur 3 millions d'entreprises en France, seules un peu plus de 120 000 adhèrent au Medef, souvent perçu comme trop lointain, trop politique, et éloigné des réalités quotidiennes de la grande majorité des entreprises.
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Église en France : le bilan des ordinations sacerdotales en France
Thème : Église
Alors que s’achève la période annuelle des ordinations sacerdotales, aux environs du 29 juin, fête de saint Pierre et saint Paul monsieur l’abbé Barthe dresse le bilan de ces ordinations et fournit diverses informations chiffrées sur l’état du clergé en France. Il y a eu entre 67 et 82 ordinations (selon les sources) au titre des diocèses et communautés assimilées. Dans le même temps 800 prêtres décèdent par an. 58 diocèses n’ont eu aucune ordination cette année. Il ne reste plus que 17 séminaires actifs en France. Les ordinations selon la forme extraordinaire du rite romain représentent 20 % de ces ordinations, etc. Un bilan sans concession.
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Autriche : le gouvernement ferme sept mosquées et expulse des imams
Thème : Europe
Le jeune chancelier autrichien Sebastian Kurz a annoncé, le 8 juin 2018, son intention de fermer sept mosquées jugées problématiques : quatre à Vienne, deux en Haute-Autriche et une en Carinthie.
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Refuser les dénaturations des liturgies orientales : un prochain combat ?
Thème : Église
Source [Info Catho] Le sujet est encore peu abordé. Mais il est probable qu’il le soit un jour.
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Divorce, rupture : et en plus, c’est mauvais pour la santé !
Thème : Société
Source [La Sélection Hebdo] Comme le diabète, le divorce et la rupture sont des tueurs silencieux : ils sont tellement communs dans nos sociétés qu’on a fini par s’y habituer. La France est particulièrement touchée par ce fléau social : près de 45% des mariages finissent par un divorce. On enregistre chaque année environ 1 divorce pour 2 mariages – dont 20% sont des remariages. Mariés, pacsés ou en cohabitation, le nombre de couples qui rompent a bondi de 63% en 15 ans : 155 000 séparations de couples par an en moyenne dans les années 90, 253 000 depuis 2010 ! Une personne sur trois âgée de 26 à 65 ans ayant vécu en couple a connu une séparation après une première union. Les couples se défont de plus en plus vite : cinq ans après le début de la vie commune, 20% des couples sont séparés, 27% au bout de 10 ans, 50% des unions n'iront pas au-delà de 35 ans de vie commune, selon l’INSEE. Le nombre de mineurs qui subissent la séparation de leurs parents augmente en proportion : 145 000 enfants de divorcés par an en moyenne dans les années 90, quelque 191 000 chaque année depuis 2010.
Du même coup ont été multipliées les familles dites « recomposées » et « monoparentales » - c’est-à-dire la plupart du temps dirigées par des mères seules, avec le cortège de fléaux affectifs et sociaux qu’entraînent cette « recomposition » ou cette solitude, à commencer par le vide éducatif laissé par les pères et par l’appauvrissement du foyer : on compte aujourd’hui en France environ deux millions de familles « monoparentales », deux fois plus qu’il y a 25 ans, et 40% de ces familles vivent en deçà du seuil de pauvreté.
Loin de prendre en compte ce cancer social des divorces et des ruptures, les autorités s’acharnent à saper l’union conjugale au nom de l’individualisme libertaire triomphant. L’an dernier, le mariage a été encore fragilisé par la réforme du divorce : depuis le 1er janvier 2017, les divorces par consentement mutuel peuvent être conclus en 15 jours, sans passer devant un juge des affaires familiales (loi adoptée par l'Assemblée nationale en octobre 2016 sous couvert de « modernisation de la justice du XXIe siècle »). A présent, les époux désireux de se séparer d'un commun accord ne sont plus soumis à la décision d'un juge se préoccupant notamment du sort des enfants. Une simple signature apposée devant notaire officialise leur rupture. Le mariage devient un simple arrangement révocable.
Mais puisque le gouvernement semble beaucoup plus sensible aux problèmes sanitaires qu’aux questions familiales, attirons son attention sur cette autre conséquence des ruptures conjugales : des chercheurs de l'université de Carnegie Mellon, aux États-Unis, viennent de mettre en lumière les dommages impressionnants que ces séparations causent à la santé.
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Le grand racket des 80 km/h
Thème : Société
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Des pistolets non déclarés "cachés" chez En Marche
Thème : France
D'après les premiers éléments réunis par les juges, et consultés par Le Monde, Vincent Crase portait une arme le 1er mai, après avoir dit l'inverse aux enquêteurs. Ce pistolet, comme deux autres retrouvés au siège du parti présidentiel, ne sont pas déclarés.
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Orban et la crise de la démocratie à l'Ouest
Thème : International et Défense