Source [L'Opinion] A l’initiative du manifeste pour défendre le recours à la chloroquine, la députée macroniste du Bas-Rhin, très touché par le Covid-19, juge « l’attitude du gouvernement extrêmement fermée ».
Le manifeste publié ce week-end dans Le Parisien, « Ne perdons plus de temps », à l’initiative de Philippe Douste-Blazy et de plusieurs personnalités du monde médical, exhorte le gouvernement à assouplir les conditions pour recourir à l’hydroxychloroquine afin de combattre le coronavirus. La pétition a passé la barre des 200 000 signataires. La députée LREM du Bas-Rhin Martine Wonner, médecin psychiatre de profession, qui a coécrit cet appel, ne cache plus son incompréhension face à la position du gouvernement.
Vous avez coécrit, avec l’ancien ministre de la Santé Philippe Douste-Blazy, un appel pour demander au gouvernement d’assouplir les conditions de prescription de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19. Avez-vous eu un retour de l’exécutif ?
Pour l’instant, le gouvernement reste sourd à nos appels. Depuis deux semaines, nous avons mis en place le collectif « Laissons les prescrire ». Nous avons écrit à la Direction générale de la santé et au ministre Olivier Véran pour leur demander que les médecins hospitaliers puissent prescrire l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine. Jusqu’à présent, nous n’avons pas eu de réponse même de façon négative.
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