Source [Atlantico] : Trois tendances de fond expliquent la baisse : la destruction de la demande par effet prix (appelée pudiquement sobriété), la douceur de la météo et l’abandon, chez certains industriels, de process gaz ou leur report vers l’électricité.
Lors de la crise dite ukrainienne, liée à l’embargo sur le gaz russe (et le sabotage de NS1), les prix de gros du gaz se sont envolés se répercutant bien sûr, sur les prix de détail. Il en est résulté une forte baisse de la consommation plus forte chez les industriels que chez les « petits » clients selon les données de GRT Gaz.
Le fait essentiel est qu’en 2023, la consommation nationale - particuliers, entreprises, grands industriels, centrales électriques - s'est établie à 381 térawattheures (TWh), selon le bilan annuel du gestionnaire du réseau de transport de gaz GRTgaz, soit une baisse de -11,4% sur l'année et, surtout, un niveau qui n'avait plus été vu depuis les années 1990 !
- L’urgence budgétaire met la classe politique au...
- Le grand tabou : et le vrai coût de l’insécurit...
- Harris ou Trump ? Cet historien américain ne s’...
- L'Union européenne se fixe des objectifs dont l...
- Rentrée scolaire : Education nationale recherch...
- Arrestation par la France du patron de Telegram...
- Tim Walz, co listier de Kamala Harris : un cand...
- Guerre généralisée ou vengeance terroriste sang...
- Le chef de l’armée britannique pense que la gue...
- JO 2024 : un fiasco en matière de libertés publ...