Bioéthique
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Bioethique – La loi transgresse plus et protège moins
Paru le : 17 février 2012
Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune, revient pour libertepolitique.com sur les lois de bioéthique et leurs enjeux. Il met en cause des lois permissives faites pour encadrer la transgression et appelle à un changement radical de politique en faveur de la vie.
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Osons parler de l’IVG
Thème : Bioéthique
Après les récentes prises de position du Président de la République sur le refus de la légalisation de l’euthanasie et du mariage de couple de même sexe,[1]la campagne pour l’élection présidentielle est l’occasion de reparler de la question tabou de l’IVG.
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Les juges torpillent la loi anti-Perruche
Thème : Bioéthique
L’agence d’information Genethique s’alarme de l’arrêt du 15 décembre 2011 de la Cour de cassation qui remet en question le dispositif de la législation anti-Perruche et désavoue les récentes décisions du Conseil d’Etat et du Conseil Constitutionnel. La menace d’un « droit à ne pas naître » ressurgit.
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La Cour de cassation cherche à pérenniser la jurisprudence Perruche
Thème : Bioéthique
La Cour de cassation affirme que des enfants, nés avant l’entrée en vigueur de la loi anti-perruche (4 Mars 2002) , pourraient être indemnisés d’un préjudice d’être né. Cette indemnisation représente un « déni de sa personne et sa mort symbolique » selon Monsieur Jerry Sainte Rose, avocat général à la Cour de cassation au moment de l’affaire Perruche en 2000 et ancien conseiller d’Etat.
Cette décision se fait anormalement discrète alors qu’elle est parfaitement inconstitutionnelle, et que cette reconnaissance du « préjudice d’être né » porte atteinte à la dignité de la personne handicapée. Elle avait d’ailleurs pour mémoire fait largement scandale à l’époque, et avait généré une véritable levée de bouclier à la fois médiatique, politique et associative. Le dispositif « anti-Perruche » avait alors empêché la reconnaissance d'un tel préjudice et la décision du Conseil Constitutionnel s'y était également formellement opposé, pour des raisons éthiques et juridiques.
La Fondation Jérôme Lejeune publie à ce sujet une note d'analyse que nous restituons ci-dessous qui explique les transgressions et graves conséquences de ce récent arrêt, et revient brièvement pour rappel sur les développements de cette affaire.
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9 milliard d'homme à nourrir en 2050
Thème : Bioéthique
7 milliards d’humains aujourd’hui, 9 milliards en 2050. Sera-t-il possible de les nourrir ? Deux scénarios et un préalable… éthique et politique.
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Longue Marche pour la Vie
Thème : Bioéthique
A l’issue de la marche pour la vie du 22 janvier dernier, Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune, a prononcé une allocution où il revient sur les lois bioéthiques et sur les très graves atteintes au respect de la vie qu’elles légalisent.
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Face à la déshumanisation : une écologie humaine (2/2) – Recommandations
Thème : Bioéthique
Après avoir montré qu’il manque aux politiques « une vision anthropologique globale, systémique et cohérente de l’écologie », Jean-Marie Le Méné trace les axes d’une véritable écologie humaine.
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Face à la déshumanisation : l'écologie humaine (1/2) – Etat des lieux
Thème : Bioéthique
Pour Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune, il manque aux politiques une vraie anthropologie de l'Homme. L’homme n’est pas un prédateur de la nature et la terre nourricière peut largement nourrir une humanité encore beaucoup plus nombreuse qu’aujourd’hui. L’homme peut en revanche en être un bon ou un mauvais intendant. C’est donc lui et son comportement qui doivent être au centre de la question écologique.
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Protection de la vie humaine : bilan du quinquennat et perspectives (3/3)
Thème : Bioéthique
Troisième volet de notre étude sur le quinquennat écoulé en matière de respect du droit à la vie : l’interruption volontaire de grossesse (IVG). Contrairement aux questions de bioéthique et d’accompagnement des malades en fin de vie, on peut estimer que le bilan de la majorité est nettement négatif.
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Droit de « mourir dans la dignité » : un consentement impossible à obtenir
Thème : Bioéthique
Le droit à mourir dans la dignité ne serait-il pas une forme de soi-disant « tuer pour le bien » ? Et si c’est le cas, est-ce que cela ne vous rappelle rien ? Démonstration.