![LFI manifestera au côté d’autres organisations devant l’ambassade de Tunisie en France « contre le discours raciste et xénophobe des autorités tuni... LFI manifestera au côté d’autres organisations devant l’ambassade de Tunisie en France « contre le discours raciste et xénophobe des autorités tuni...](/var/afsp/storage/images/actualite/decryptage/lfi-manifestera-au-cote-d-autres-organisations-devant-l-ambassade-de-tunisie-en-france-contre-le-discours-raciste-et-xenophobe-des-autorites-tunisiennes/256428-1-fre-FR/LFI-manifestera-au-cote-d-autres-organisations-devant-l-ambassade-de-Tunisie-en-France-contre-le-discours-raciste-et-xenophobe-des-autorites-tuni_visuel.jpg)
Source [Fdesouche] : Tunisie : Halte à la dérive raciste et sécuritaire ! Non au discours haineux prôné par les plus hautes autorités tunisiennes ! Rassemblement le 3 mars à 17h devant l’Ambassade de Tunisie à Paris
Secouée par une dérive autoritaire sans précédent, la Tunisie vient de franchir un nouveau pas dans l’inadmissible : l’adoption par le chef de l’État et le conseil national de la sécurité d’une série de mesures découlant directement de thèses racistes et xénophobes qui visent les migrant(e)s subsaharien(ne)s.
Les déclarations officielles au plus haut niveau viennent ainsi conforter dans un élan populiste qui tient lieu de ligne politique une campagne haineuse qui est menée depuis un certain temps et qui risque d’ébranler le tissu social et une population déjà fortement malmenée par les conséquences des crises socio-économiques. Cette dérive raciste, déclenchée par une minorité, est un coup porté aux aspirations de la révolution fondée, faut-il le rappeler, sur les valeurs de liberté, de justice, d’égalité et de dignité.
Portée dans un premier temps par quelques groupes et relayée par certaines pages des réseaux sociaux proches du pouvoir tunisien, cette campagne reprend à son compte les pires travers des idéologies et des thématiques prônées par les mouvements identitaires et d’extrême-droite en Europe et aux Etats-Unis. En effet, outre le fait qu’ils exigent l’expulsion des migrant(e)s subsaharien(ne)s, les initiateurs de cette campagne reprennent à leur compte la thèse xénophobe du « grand remplacement ». Ces derniers n’hésitent même plus à demander l’abrogation de la loi criminalisant les actes, propos et discriminations racistes, loi adoptée le 23 octobre 2018.
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