La puissante Allemagne renoue-t-elle avec ses anciens démons ? La question peut se poser, tant ce grand pays semble prendre, année après année, des décisions qui, à force d’entailler les libertés publiques ou individuelles, mettent sérieusement en péril la liberté tout court.

La probable décision de rendre obligatoire pour tous le vaccin contre le covid  traduit assez bien cette dérive allemande. Car les mesures envisagées contre ceux qui refuseraient de se faire vacciner sont à proprement parler hallucinantes : de façon résumée, les non vaccinés se trouveraient exclus de toute vie sociale, et seraient quasiment privés de toute subsistance leur permettant de vivre, ou de survivre.

Phénomène aggravant : la présidente de la Commission européenne, allemande de son état, est totalement liée au lobby pro vaccin. En effet, une photo, qui a fait le tour du monde entier, montre le lien plus qu’affectueux qu’elle entretient avec le président du groupe Pfizer. En outre, son mari travaille également dans une société affiliée à ce groupe, ce qui bien évidemment accentue le trouble.

Ainsi donc, alors que l’Allemagne se prépare à mettre en route un arsenal répressif totalement liberticide, et objectivement totalement aberrant, sont pointés  de très probables conflits d’intérêts pouvant se traduire, peut-être, par des enrichissements personnels considérables.

Il n’est pas inutile de rappeler que le Protocole de Nuremberg, mondialement accepté en 1947, interdit formellement de faire, sur un plan médical, ce que l’Allemagne se propose de faire. Cette nation problématique, à l’évidence, n’entend pas respecter ce protocole fondamental, et permettra à d’autres pays, dont la France bien sûr, de s’engouffrer dans cette brèche hautement liberticide, et peut-être hautement lucrative pour certains. Décidément, la grande et puissante nation allemande continue de poser problème.

François Billot de Lochner