Source {Ojim] : Il y a le journalisme de paresse (qui recopie l’AFP), le journalisme de complaisance (qui renvoie l’ascenseur), le journalisme de censure (qui surveille le politiquement incorrect), il y a maintenant le journalisme des services de renseignement, sujet de notre dernière brochure numérique dont nous vous livrons un large extrait.
OSINT ? Qu’y a‑t-il derrière ?
Cinq lettres d’un acronyme anglo-saxon que peu connaissent mais qui nous concernent tous. OSINT, pour Open Source Intelligence, Renseignement en sources ouvertes. En français, on parle aussi de ROSO, pour Renseignement d’origine source ouverte. Son utilisation ne date pas d’hier mais elle a été décuplée par l’arrivée d’internet, des réseaux sociaux et la numérisation de l’information. L’OSINT doit sa popularité au conflit russo-ukrainien déclenché en février 2022, date à laquelle il est devenu une pratique de tous les instants, systématique et permanente. Son champ d’application est large et ses outils ont des implications dans tous les domaines des activités humaines. Pour faire court : il consiste en la récolte et en l’exploitation de toutes les informations non-classifiées, dit vulgairement de tout ce qui n’est pas secret.
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