Source [Marianne] : Depuis l’annonce de la nomination de Gabriel Attal au poste de Premier ministre, les médias ne tarissent pas d’éloges sur le chouchou du président. Au point qu’on en viendrait presque à ne plus parler des sujets essentiels comme l’héritage d’Alain Delon par exemple.
« La valeur n’attend pas le nombre des années » disait Rodrigue dans Le Cid. Les louanges non plus, qui se sont abattues en déluge sur la tête du nouveau Premier ministre dès sa nomination officialisée. On aurait presque envie de lui confier l’organisation des JO tant il semble tout réussir.
VA, COURS, VOLE, ET NOUS CHANGE
C’est d’abord sa jeunesse et la rapidité de son ascension qui ont été vantées par beaucoup de ceux qui n’hésitent pas habituellement à prôner « le temps long » et l’importance de l’expérience en politique. Le nouveau Premier ministre s’est ainsi mué en « jeune prodige » (Le Temps, Europe 1) au « parcours fulgurant » (BFMTV), à « l’ascension éclair » (La Croix) voire « irrésistible » (Le Point). Des mots qui, on le confesse, ne sont pas sans rappeler notre propre titre : « Gabriel Attal, portrait-robot d'une bête de com à l'ascension fulgurante ».
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