Source [Marianne] : La coalition présidentielle à l’Assemblée nationale se cherche un cap pour la suite du quinquennat et se résigne à vivre une sorte de cohabitation larvée avec l’Élysée. A Matignon, Elisabeth Borne est confirmée... pour le moment.
Passer à autre chose, vite. Tel a été le leitmotiv, ce samedi 15 avril, au Conseil national de Renaissance. Le parti présidentiel a tenu son premier grand raout depuis la réélection d’Emmanuel Macron. Ambiance étrange. Un cocktail de volontarisme, d’appréhension et de ressentiment. L’une des oratrices prévues rouspétait en amont : « J’en peux plus de ces grands-messes. On a eu le “congrès” de Horizons, maintenant on a notre CN… J’ai l’impression d’être au Parti socialiste. En plus ce sera au Dojo de Paris. J’en déduis que ça sentira la sueur. » C’est plutôt la veille que certains ont eu les mains moites, en attendant les décisions du Conseil constitutionnel sur la réforme des retraites. À la fin, un ouf de soulagement : loi validée, RIP (référendum d’initiative partagée) rejeté. Pas de surprise, mais le juridisme froid et spécieux – et idéologiquement orienté, quoi qu’on dise – des « Sages » de la rue de Montpensier a élargi le fossé entre le pouvoir et les Français.
Retrouver l'intégralité de l'article en cliquant ici
- "La tonne de carbone doit devenir une nouvelle...
- Olivier, ex-préparateur physique dans le foot :...
- Présidence de commission, vice-présidence de l'...
- Moldavie : quand les expats installés dans l'Un...
- "Moi qui ai sauvé la Grèce" : quand François Ho...
- Hausses d’impôts : les classes populaires et mo...
- Fin de vie : "Les aidants sont trop longtemps r...
- Israël : face à la pénurie de soldats, l'armée...
- SNCF vs. Saint-Gobain : qui abuse le plus du "f...
- En Suède, finis les écrans avant l’âge de deux...