Source [Marianne] : Un procès parallèle a hanté la conclusion de l'affaire Pierre Palmade. Bien que cette qualification ait été rejetée pendant l'instruction, les parties civiles ont demandé à Pierre Palmade de comparaître volontairement pour « homicide involontaire ». Un débat qui pourrait entrer en conflit avec les lois protectrices du corps des femmes.
Il n’y a pas eu mort d’homme, ni d’enfant, le 10 février au soir, sur la départementale 372. La justice a tranché cette question plusieurs mois avant le procès de Pierre Palmade. Un autre avis, moins technique et plus humain, a été émis ce mercredi 20 novembre.
À la barre du Tribunal de Melun, Mila témoigne pour deux procès à la fois : celui qui va faire condamner Pierre Palmade à 5 ans de prison dont 2 ans ferme, et celui pour lequel il ne sera jamais jugé. Elle était enceinte de 6 mois lorsque la Peugeot 3008 de l’ancien humoriste est venue percuter son véhicule. Elle est alors transférée à l’hôpital Necker avec des côtes cassées, des vertèbres atteintes, et réalise un scanner. Le résultat tombe : le cœur de petite fille qu’elle portait – et qui devait naître trois mois plus tard – ne bat plus. La tentative de réanimation dure 32 minutes, en vain. Depuis, et jusqu’au procès, un débat juridique s’est constitué sur la question suivante : peut-on qualifier le décès d’un enfant à naître d’homicide involontaire ?
- UE-Mercosur : lobbies, commission, Pedro Sánche...
- "La tonne de carbone doit devenir une nouvelle...
- Olivier, ex-préparateur physique dans le foot :...
- Présidence de commission, vice-présidence de l'...
- Moldavie : quand les expats installés dans l'Un...
- "Moi qui ai sauvé la Grèce" : quand François Ho...
- Hausses d’impôts : les classes populaires et mo...
- Fin de vie : "Les aidants sont trop longtemps r...
- Israël : face à la pénurie de soldats, l'armée...
- SNCF vs. Saint-Gobain : qui abuse le plus du "f...