Source [Le Monde] Le deuxième référendum d’accession à la pleine souveraineté aura lieu le 30 août ou le 6 septembre 2020.
La montagne a accouché d’un souriceau. Au terme de seize heures de discussion, le 19e comité des signataires de l’accord de Nouméa a tout juste évité, dans la nuit du 10 au 11 octobre, de se séparer sur un constat de désaccord. Les représentants des forces politiques de Nouvelle-Calédonie, loyalistes et indépendantistes, réunis à Matignon autour d’Edouard Philippe, ont – difficilement – abouti à un compromis permettant d’envisager la tenue du deuxième référendum d’accession à la pleine souveraineté le 30 août ou le 6 septembre 2020. La date définitive sera fixée « dans les quinze jours », a indiqué le premier ministre à l’issue des travaux.
Mais ce « souriceau », si chétif soit-il, permet de préserver l’espoir de porter à son terme, de manière consensuelle, le processus politique et institutionnel mis en œuvre à partir des accords de Matignon du 26 juin 1988 puis de Nouméa du 5 mai 1998. Et c’est presque avec soulagement que les acteurs de cette longue négociation, parfois au bord de la rupture, ont accepté de s’en contenter, tant les positions de départ étaient divergentes.
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