Source [Boulevard Voltaire] : Lors du concert gratuit du Nouvel an donné à l’Opéra de Nice, le chef d’orchestre italien Beatrice Venezi a essuyé quelques lazzis. Ce n’était évidemment pas sa direction d’orchestre dans l’exécution de valses viennoises qui était en cause : au cri de « pas de fascistes à l’opéra, pas d’opéra pour les fascistes », une poignée de militants ont ressorti de la naphtaline des slogans des années 1980 et tenté d’importer à l’opéra le petit théâtre anti-fasciste.
Quelques jours auparavant, une cinquantaine de militants de la CGT s’était élevée contre la venue de la belle musicienne italienne pour le concert de Noël, concert qui fut un vif succès. Sachons gré au directeur général de l’Opéra de Nice, Bertrand Rossi, d’avoir maintenu ces deux représentations malgré la pression de la gauche : « En tant qu'institution culturelle, notre rôle est de favoriser la libre expression artistique et de créer un environnement où chacun peut se sentir à l'aise et respecté, indépendamment de ses affiliations politiques », expliquait-il sur Radio France.
- Meurtre de Matisse : « Les Français ne tolérero...
- Emmanuel Macron envisage une défense européenne...
- Européennes : près de 40 % des musulmans pourra...
- « La culture de l’excuse, c’est fini »… Attal p...
- Australie : nouvelle attaque au couteau dans un...
- JO de Paris 2024 : la CGT annonce le dépôt des...
- « Bruno, ça fait quand même sept ans que tu es...
- Une peintre saoudienne jugée pour esclavage mod...
- Attaque à Moscou : Poutine affirme que l’attent...
- Faire des bébés, c’est d’extrême droite ?