Une alternative prend forme en Europe

Source [Les 4 Vérités] 

Emmanuel Macron apparaît de plus en plus comme le fer de lance du combat de la gauche pour l’invasion migratoire, pour l’islamisation, pour la censure et pour le terrorisme intellectuel. Ce ne peut être une surprise que pour ceux qui ignoreraient encore ce qu’il est, qui il est, comment son accès au pouvoir en France a été organisé et préfabriqué.

Néanmoins, le mal est fait, et Emmanuel Macron doit être combattu sans merci ni répit.

Tous ses projets doivent être, eux aussi, combattus.

Une victoire, aussi minime soit-elle, de ses positions à l’échelle européenne serait dramatique.

Et tous ceux qui soutiennent des positions semblables aux siennes (ou qui combattent ses positions avec mollesse) devront être défaits.

L’Europe est dans une situation d’urgence absolue.

Fort heureusement, une alternative prend forme en Europe.

La présence à la Maison Blanche d’un Président défendant la souveraineté nationale, l’identité des peuples occidentaux et le droit de ceux-ci à disposer d’eux-mêmes joue le rôle d’un immense catalyseur.

Et ce n’est certes pas un hasard si ce Président est détesté à ce point par tous les artisans de la destruction en Europe.

Jamais, en effet, un président des États-Unis n’a fait l’objet d’une campagne de haine et de diffamation semblable à celle dont fait l’objet Donald Trump, et le livre que je viens de lui consacrer, « Ce que veut ­Trump », sera, j’en suis, hélas, sûr, le seul en son genre en France, voire en Europe occidentale.

Malgré les campagnes de haine et de diffamation menées con­tre lui, et qui ont ressemblé à celles menées contre Donald Trump, Viktor Orban a été reconduit triomphalement au poste de Premier ministre en Hongrie. Il est la figure de proue du groupe de Visegrad (Pologne, Hongrie, Slovaquie, République tchèque) qui est, tout entier, sur les mêmes positions que lui.

Et Viktor Orban et la Hongrie ont été récemment sanctionnés par l’UE sur la base d’un rapport mensonger rédigé par une personne d’extrême gauche.

Viktor Orban a été, entre autres, présenté comme antisémite, alors que la Hongrie sous Orban est devenue le pays d’Europe le plus sûr pour les Juifs en Europe, car elle est le pays le plus immunisé contre le seul antisémitisme qui monte en puissance en Europe : l’antisémitisme musulman.

Malgré des campagnes tout aussi haineuses et diffamatoires, Matteo Salvini en Italie devient peu à peu un héros national et le sauveur du pays. Les intentions de vote en faveur de son parti ne cessent de croître.

Sebastian Kurz, le jeune chancelier autrichien, défend des positions proches de celles d’Orban et de Salvini, qui mettent en place une vaste alliance à l’échelle de l’Europe entière, destinée à vaincre les positions d’Emmanuel Macron (qui sont aussi celles d’Angela Merkel et de Federica Mogherini, entre autres).

Cette alliance doit l’emporter.

Elle doit être dotée des moyens de changer la donne à Bruxelles et au Parlement de Strasbourg.

Le programme du Rassemblement national en France continue à susciter mes réserves, mais Laurent Wauquiez a bien du mal à s’imposer, et les attaques subies par le RN venant de la justice française ont un parfum nauséabond et inquiétant d’arbitraire.

Je pense que, si le Rassemblement national devenait le premier parti de France, ce serait un séisme important qui donnerait à réfléchir. Qu’on soit d’accord ou pas avec Marine Le Pen, le fait qu’elle ait été attaquée pour avoir diffusé des photos de meurtres islamiques de telle façon qu’elle ait pu être sommée de se soumettre à une expertise psychiatrique est, de surcroît, très grave et inadmissible.

La France est en train de mourir, l’Europe occidentale a un pied et demi dans la tombe.

Si un sursaut doit venir, c’est maintenant.