Source [Valeurs actuelles] : En 2017, Emmanuel Macron s’était posé en candidat des banlieues, promettant « la fin de l’assignation à résidence ». Les émeutes après la mort de Nahel sanctionnent son impuissance.
C’était il y a sept ans, une éternité. Fraîchement élu président de la République, Emmanuel Macron nous promettait une révolution – titre de son livre programmatique – à tous les étages de la société. Notamment et surtout dans les banlieues, ces « grandes oubliées », selon la formule consacrée. Mais pas question pour le plus jeune président français de l’histoire de faire comme ses prédécesseurs : terminé les vieilles méthodes coûteuses à coups de politiques publiques et de programmes de rénovation urbaine – des « stratégie[s] aussi âgée[s] que moi », ironisait-il, lors d’une rencontre avec les acteurs
- « Twitter, faut le réguler ou l’interdire, c’es...
- Dominique Perben : « Le Syndicat de la magistra...
- En Nouvelle-Calédonie, il est urgent d’attendre
- 17-22 novembre : Ouvrons les yeux sur la perséc...
- Synode sur l’Église : la montagne a accouché d’...
- L’arrêt des véhicules thermiques en Norvège : t...
- Loi immigration 2025 : le projet de Bruno Retai...
- Afghanistan : les Talibans souhaitent interdire...
- Marion Maréchal lance son parti politique bapti...
- « La liberté d’expression des femmes non-blanch...