[Source : ripostelaique.com]
Il est temps de briser le tabou de l’immigration et de dire la vérité au peuple français, vérité que les dirigeants nous cachent depuis trop longtemps par peur d’apporter de l’eau au moulin du FN. L’omerta est totale et il faut que ça cesse.
Le peuple a le droit de savoir que dans cinq ans, le nombre de naissances extra-européennes dépassera celui des natifs.
Le peuple français a le droit de savoir qu’il y a 13 millions d’immigrés et descendants d’immigrés extra-européens en métropole.
Le peuple français de souche a le droit de savoir que si rien ne change, il sera minoritaire dans son propre pays en 2050, avec des bouleversements gigantesques pour les générations futures.
Chacun sait que l’INSEE et l’INED sont devenus experts dans l’art de noyer le poisson dès qu’il s’agit de chiffrer l’immigration dans notre pays. Ils trichent.
Tout est bon pour tromper les “identitaires” d’une supposée “fachosphère”, toujours à l’affût pour dénicher les vrais chiffres de l’immigration-invasion.
Truquages, maquillages, falsifications, manipulations et bidouillages en tout genre n’ont donc plus de secret pour nos analystes de l’INSEE.
Ils sont incapables de nous donner le nombre exact de fonctionnaires, mais ils nous chiffrent le nombre d’immigrés à l’unité près, au plus bas niveau, bien entendu.
Il est vrai que la bobosphère voit un facho derrière chaque arbre et qu’il lui faut donc tout faire pour interdire les statistiques ethniques, tout en clamant haut et fort que l’immigration est une chance pour la France.
Comme l’a encore répété, 33 ans après Bernard Stasi, notre inénarrable Président, grand promoteur de la société multiraciale et du vivre ensemble.
Les trois artifices pour noyer le poisson ont été parfaitement détaillés dans le lien ci-dessous :
Primo, l’INSEE donne le nombre d’immigrés et de descendants d’immigrés, mais seulement pour les première et deuxième générations.
Motif ? Il parait qu’à la troisième génération nos jeunes immigrés sont parfaitement intégrés et donc classés parmi les Français de souche !
Rappelons que les terroristes qui ont ensanglanté le pays étaient nés en France.
Rappelons aussi que 50% des jeunes musulmans veulent l’instauration de la charia. Intégrés nous dit l’INSEE ? Foutaise !
Secundo, l’INSEE ne fait pas de distinguo entre immigrés Européens ou extra-Européens, comme si l’échec de l’intégration des seconds n’était pas flagrant !
On n’assimile pas un Africain comme un Italien.
Tertio, l’INSEE minimise les flux migratoires en jouant sur le solde migratoire, un chiffre dérisoire totalement bidon, qui amalgame les sorties et les entrées des natifs et des immigrés.
Il arrive au bas mot 400000 immigrés par an, légaux et illégaux, mais l’INSEE veut nous faire gober le chiffre ridicule d’un solde migratoire de 40000 !
En réalité, le solde migratoire des natifs est négatif (retraités qui partent à l’étranger, étudiants, expatriés et coopérants qui quittent la France plus ou moins longtemps).
Alors que le solde migratoire des étrangers est largement positif.
Quel immigré, légal ou clandestin, va repartir quand il a obtenu le RSA, la CMU ou les allocations diverses ? Même un clandestin a des droits. Pourquoi retournerait-il crever de faim en Afrique ?
Autant dire que l’INSEE et l’INED ne sont d’aucune utilité quand il faut chiffrer la population immigrée en France, alors que celle-ci est en croissance exponentielle, notamment par son fort taux de natalité.
Tout le monde se retranche derrière la stupide interdiction des statistiques ethniques. Comme si on pouvait cacher éternellement le tsunami migratoire.
Ils vont même jusqu’à dire que le nombre d’étrangers n’a pas varié depuis 30 ans, ce qui est vrai, mais en omettant de rappeler qu’on naturalise 120000 étrangers chaque année.
Mais quand on a plus de 100 nationalités dans une cour de récréation, on voit mal ce qu’on peut cacher aux familles de natifs. Ce n’est plus la France.
Mais heureusement, grâce au dépistage de la drépanocytose, maladie génétique qui frappe certaines populations extra-européennes, il est possible de chiffrer avec assez de précision le niveau de l’immigration en France.
Rien de nouveau. D’autres intervenants ont traité le sujet pour montrer l’importance des naissances et des flux migratoires.
Mais ce qui est intéressant, c’est de pouvoir chiffrer le nombre d’immigrés avec précision, malgré l’interdiction des statistiques ethniques.
Evidemment, la bobosphère immigrationniste hurle au racisme dès qu’on utilise ces données officielles. Mais si la France n’avait pas interdit les statistiques ethniques et si l’intégration ne posait aucun problème, personne n’aurait besoin d’utiliser des statistiques médicales pour chiffrer le niveau de l’immigration.
Les Français ont-ils droit à la vérité ou faut-il leur mentir ?
Taire la vérité c’est trahir les 70% de citoyens qui ne veulent plus d’immigration.
La HAS, sollicitée afin de généraliser le dépistage de la drépanocytose, qui ne concerne que les nouveaux nés de parents originaires d’Afrique subsaharienne, du Maghreb, du Moyen Orient ou des possessions outre-mer, la haute autorité médicale a jugé en 2014 que le rapport coût efficacité ne justifiait pas un dépistage généralisé.
Au grand dam des immigrationnistes qui espéraient généraliser le dépistage à tous les nouveaux nés, pour noyer dans la masse les chiffres de l’immigration qui ne cessent d’augmenter.
Donc, on prendra les chiffres officiels de 2015, en excluant les territoires d’outre-mer qui bénéficient du dépistage systématique et font évidemment partie de la population de souche.
Par voie de conséquence, n’entreront pas dans ces calculs les immigrés surinamiens et brésiliens, haïtiens ou comoriens, arrivés en Guyane, en Guadeloupe ou à Mayotte, alors qu’il le faudrait.
Mais les données de métropole suffisent largement pour évaluer la population d’origine immigrée, toutes générations confondues.
En 2015, sur 761841 naissances en métropole, il y a eu 38,85% des nouveaux nés qui ont bénéficié du dépistage de la maladie génétique. Pas loin de 40%.
http://www.fdesouche.com/769997-drepanocytose-la-carte-du-grand-remplacement-mise-jour-2#
Le pourcentage étant en constante augmentation depuis des années, on peut tabler sur un chiffre de 40% des naissances en 2016. (voir tableau ci-dessus)
Dans 5 ans environ, il y aura 50% des nourrissons qui auront au moins un ascendant issu d’un pays exposé au risque de drépanocytose.
Comme le dit Philippe de Villiers, “Nous sommes à la veille d’un changement de peuplement que nous ne voulons pas”.
Philippe de Villiers est-il un fasciste pour autant ?
Les bobos immigrationnistes qui bêlent au racisme feraient mieux de se taire.
Le grand remplacement est bel et bien en cours. Et il s’accélère.
Calculons le nombre d’immigrés grâce aux chiffres de la natalité.
1er calcul
On sait que les natives ont un taux de fécondité de 1,7 enfant par femme, alors que les immigrées ont un taux de 3,4 enfants par femme, soit le double.
Ce qui signifie que les femmes immigrées accouchent deux fois plus souvent que les natives et sont donc doublement représentées dans les chiffres des naissances.
En clair, si elles sont à l’origine de 40% des naissances, comme c’est le cas, cela signifie que 20% des femmes en âge de procréer sont d’origine immigrée.
Sur 65 millions d’habitants en métropole, il y a donc 13 millions d’immigrés ou descendants d’immigrés. ( 65 x 20/100 )
On objectera que cette proportion de 20% ne se retrouve pas dans la population âgée, puisque les immigrés sont plus jeunes, mais ce n’est que temporaire puisque la génération du baby-boom d’après guerre va grossir le nombre des décès.
A 1 million près, il y a bien 20% des habitants qui ont au moins un ascendant d’origine immigrée.
2ème calcul.
Connaissant les taux de fécondité des natives et des immigrées, on calcule le pourcentage de ces dernières. On sait que le taux global est de 2 enfants par femme.
Y = pourcentage d’immigrées
1,7 = taux fécondité des natives
3,4 = taux de fécondité des immigrées.
Sur 100 femmes on obtient :
Y x 3,4 + ( 100 – Y ) x 1,7 = 100 x 2 = 200
3,4 Y – 1,7 Y = 200 – 170
1,7 Y = 30
Y = 30/1,7 = 18 immigrées sur 100 femmes en âge de procréer.
Le chiffre de 20% est donc très proche de la réalité.
Là encore, certains esprits chagrins objecteront que le taux de fécondité des immigrées se rapproche de celui des natives. Ce qui est totalement faux avec l’arrivée massive des Africaines qui ont 4 à 5 enfants.
D’ailleurs, cet argument ne tient pas car si les immigrées avaient le même taux de fécondité que les natives, cela signifierait que si elles contribuent pour 40% aux naissances ( 2015 ), c’est qu’elles représentent 40% de la population féminine de France. Ce qui n’est pas encore le cas.
Et ce qui va à l’encontre de la vision politiquement correcte de l’INSEE qui minimise systématiquement l’impact de l’immigration.
En conclusion :
Dans 5 ans il y aura autant de naissances extra-européennes que de souche.
Il y a bien 20% d’immigrés extra-européens en France.
En 2050, si aucune mesure n’est prise pour stopper les flux migratoires, le basculement sera effectif et les natifs seront minoritaires dans leur propre pays.
Qu’en sera t-il de la laïcité, de l’égalité hommes-femmes ou de nos valeurs républicaines quand on mesure l’étendue de l’islam dans le pays ?
Ceux qui bêlent au racisme devraient se demander pourquoi la troisième génération d’immigrés n’est toujours pas intégrée et déclare préférer la charia à la loi républicaine (50% des jeunes musulmans)
Et ce n’est pas le raz de marée venu d’Afrique qui va renverser la tendance.
L’UE veut 50 millions de migrants d’ici 2060 ! C’est bien parti !
Jacques Guillemain
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