Le 13 janvier dernier, notre amie Marie Delarue, avec la malice qu’on lui connaît, nous faisait part des récents déboires d’une Ségolène Royal, désormais ambassadrice des pôles depuis septembre 2017, poste naguère occupé par le défunt Michel Rocard.
En effet, le moins qu’on puisse prétendre est que cette dame en prenait plus qu’à son aise vis-à-vis de cette fonction qui, même non rémunérée, lui assurait néanmoins quelques facilités. D’où la récente polémique déclenchée par nos confrères du Point, à l’occasion de laquelle on apprenait que Ségolène Royal n’était pas exactement une bête de course en matière d’assiduité au travail.
Pour tout arranger, l’ex-compagne de François Hollande paraissait affectionner le mélange des genres, profitant d’un poste où l’on est généralement soumis à une forme de discrétion pour, en permanence, critiquer l’homme l’ayant fait reine : Emmanuel Macron. Du coup, Élisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire, prévenait, le 12 janvier dernier : « Soit Ségolène Royal veut rester ambassadrice, et évidemment, il y a un devoir de réserve, soit elle veut avoir sa liberté de parole et, dans ce cas, il faut qu’elle ne soit plus ambassadrice soumise à une obligation de réserve. »
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