Source [Valeurs actuelles] : Lundi 23 janvier, Volodymyr Zelensky avait fait savoir que des changements allaient être effectués, au cours des 24 heures suivantes, à des postes régionaux et des hauts postes du gouvernement.
Des révélations qui ont poussé Volodymyr Zelensky à agir. En Ukraine, cinq gouverneurs et quatre vice-ministres ont été démis de leurs fonctions, comme l’ont rapporté plusieurs médias, parmi lesquels L’Express, mardi 24 janvier. Cette annonce a été faite ce jour par le gouvernement ukrainien. Et cela, à la suite de révélations médiatiques concernant des présumés achats de provision à des prix gonflés pour l’armée. Une déclaration qui intervient donc en réaction aux allégations de corruption de certains membres du pouvoir.
Faire toute la lumière
Dans le détail, le vice-ministre de la Défense, Viatcheslav Chapovalov – qui était chargé de l’appui logistique des forces armées –, ainsi que le chef adjoint de l’administration présidentielle, Kyrylo Tymochenko, et le procureur général adjoint, Oleksiï Simonenko, figurent parmi les responsables ayant démissionné. Dans un communiqué cité par le site d’actualités, le ministère de la Défense a jugé que le départ de Viatcheslav Chapovalov permettrait « de préserver la confiance de la société et des partenaires internationaux », mais également « d’assurer l’objectivité » des efforts afin de faire toute la lumière sur cette affaire. Et cela, même s’il a estimé que « ces accusations [étaient] infondées ». Autant d’annonces qui interviennent après qu’a été limogé par les autorités Vassyl Lozynsky, un vice-ministre des Infrastructures ukrainien.
Les forces russes continuent de revendiquer des avancées
Comme le rappelle L’Express, Volodymyr Zelensky avait indiqué le 23 janvier que des changements allaient être effectués, dans les 24 heures suivantes, à des postes régionaux ainsi que des hauts postes du gouvernement. Le même jour, sur le plan militaire, la Pologne s’était dite disposée à se passer de l’aval de l’Allemagne – indécise sur la question – afin de livrer des chars Leopard de fabrication allemande à l’Ukraine. Jens Stoltenberg, secrétaire général de l’OTAN, s’est dit « confiant » qu’une solution serait « bientôt » trouvée.
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