Source [Le Figaro] : Une frange radicale de la communauté transgenre souhaite effacer la distinction entre les sexes biologiques - au détriment du droit et de la santé des individus… et de la réalité.
«Je veux être une femme. Désormais, vous m’appellerez Loretta.» Nous sommes en 1979, dans une scène de La Vie de Brian, des Monty Python. La réplique culte est suivie d’un dialogue parfaitement savoureux («Je veux avoir des bébés.» - «Mais tu ne peux pas avoir de bébés!» - «Arrête de m’oppresser!») qui se termine par un délicieux et prémonitoire échange: «Se battre pour son droit d’avoir des bébés alors qu’il ne peut pas en avoir, c’est le symbole de notre lutte contre l’oppression» - «C’est surtout le symbole de sa lutte contre la réalité.»Un demi-siècle plus tard, sur le plateau de France Télévisions lors de l’émission «Quelle époque!», l’ambiance n’est plus aux rires. Dora Moutot, journaliste et militante féministe, débat avec Marie Cau, premier maire transsexuel de France - c’est-à-dire un individu né homme mais qui est devenu (administrativement tout du moins) une femme. Nous sommes en 2022 et pour avoir simplement précisé qu’un homme qui décide, comme Marie Cau, de changer de sexe…
Retrouver l'intégralité de l'article en cliquant ici
- Donald Trump, les perspectives d’une élection
- Comment la France peut supprimer 150.000 postes...
- Immigration : comme l’Italie, la France devrait...
- Amende, peine de prison... Avec son don quotidi...
- «Il n’y a pas un avant et un après Samuel Paty,...
- LGV du Sud-Ouest : en Gironde, des milliers de...
- Mathieu Bock-Côté : «L’État de droit divin»
- Justice: une association va attaquer la limitat...
- À trop s’occuper de la surpopulation carcérale,...
- «Un échec de la politique du maire» : Orvault,...