Source [Causeur] Comme à d’autres moments critiques de son histoire, la France résiste ! A quoi ? A cette culture woke qui déferle sur nous en cherchant à saper les fondements de la société occidentale. Pour Elisabeth Lévy, il y a de bonnes raisons d’espérer que ce nouveau totalitarisme se cassera les dents sur l’esprit français. Certes, le salut ne viendra pas des hautes sphères de l’État, car Emmanuel Macron reste tiraillé entre le refus de déboulonner nos statues et la volonté de « déconstruire » notre histoire. Face à ceux qui voudraient nous diviser en racisés et racistes, le secret de notre résistance tient d’abord, explique notre directrice de rédaction, à « la supériorité d’un modèle français que les militants rejettent précisément parce qu’il se fiche de leurs origines. »
A part le modèle républicain, Mathieu Bock-Côté voit un esprit de résistance dans l’art de vivre français, dans la sociabilité et la qualité du lien humain qui restent imperméables aux pires excès de la cancel culture. C’est justement son mariage d’amour avec la culture française que la franco-tunisienne Sonia Mabrouk raconte à Gil Mihaely. L’auteur d’Insoumission française, dont le portrait figure sur notre couverture,réprouve l’esprit woke comme un « mélange d’autodénigrement, de servitude et de rancœur » servant de « poison mortel qui coule dans les veines du pays. »
Comme à d’autres moments critiques de son histoire, la France résiste ! A quoi ? A cette culture woke qui déferle sur nous en cherchant à saper les fondements de la société occidentale. Pour Elisabeth Lévy, il y a de bonnes raisons d’espérer que ce nouveau totalitarisme se cassera les dents sur l’esprit français. Certes, le salut ne viendra pas des hautes sphères de l’État, car Emmanuel Macron reste tiraillé entre le refus de déboulonner nos statues et la volonté de « déconstruire » notre histoire. Face à ceux qui voudraient nous diviser en racisés et racistes, le secret de notre résistance tient d’abord, explique notre directrice de rédaction, à « la supériorité d’un modèle français que les militants rejettent précisément parce qu’il se fiche de leurs origines. » A part le modèle républicain, Mathieu Bock-Côté voit un esprit de résistance dans l’art de vivre français, dans la sociabilité et la qualité du lien humain qui restent imperméables aux pires excès de la cancel culture. C’est justement son mariage d’amour avec la culture française que la franco-tunisienne Sonia Mabrouk raconte à Gil Mihaely. L’auteur d’Insoumission française, dont le portrait figure sur notre couverture,réprouve l’esprit woke comme un « mélange d’autodénigrement, de servitude et de rancœur » servant de « poison mortel qui coule dans les veines du pays. »
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