Source [Le Salon Beige] : Contrairement à la France, où, pour être élus, certains trahissent leurs convictions (?) passées, Giorgia Meloni ne cède rien.
En tête des intentions de vote pour les élections législatives, Giorgia Meloni défend un rôle de la femme centré sur la famille et la procréation et juge que le droit à l’avortement est une « défaite ».
Dans les Marches en Italie centrale, le parti de Giorgia Meloni, la députée d’extrême droite qui pourrait devenir présidente du Conseil italien après les législatives fin septembre, est arrivé au pouvoir en septembre 2020. Depuis, le mouvement souverainiste et postfasciste Fratelli d’Italia (FdI) (Frères d’Italie en français), multiplie les efforts pour restreindre l’accès à l’avortement.
A peine quatre mois après son élection, en janvier 2021, le parti a fait la Une des journaux italiens car il s’opposait aux directives du ministère de la Santé et refusait d’autoriser les cliniques à fournir la pilule abortive, selon « il Fatto quotidiano ». D’après le quotidien « The Guardian », le mouvement – à tendance néofasciste –, a ensuite proposé d’autoriser des militants anti-avortements à travailler dans les centres de planification familiale.
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