Source [RT France] Les 50 enquêteurs mobilisés ne peuvent pas pénétrer dans la cathédrale calcinée, pour des raisons de sécurité. Ils concentrent pour l'heure leurs efforts sur les auditions des ouvriers qui travaillaient sur le chantier.
Après le choc provoqué par l'incendie qui a ravagé la cathédrale Notre-Dame, la question de savoir ce qui est à l'origine du sinistre demeure. C'est à l'enquête ouverte pour «destruction involontaire par incendie» de le déterminer.
Si tous les scénarios restent envisageables à ce stade, le procureur de la République de Paris Rémy Heitz a tenu à faire savoir, dès le 16 avril, que la piste accidentelle était «privilégiée», assurant que «rien [n'allait] dans le sens d'un acte volontaire».
Pourtant, l'enquête avance doucement. Et pour cause, aucune constatation sur place n'a pu avoir lieu en raison des restrictions d'accès à la cathédrale décidées pour des raisons de sécurité, selon des sources proches du dossier citées par l'AFP.
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