Source [Le Salon Beige] : Pendant des années on nous a vanté cette “marche des fiertés”, avec ses centaines de milliers de participants et son esprit bon enfant. Nous étions un peu seuls à dénoncer ces intox. Aujourd’hui, la presse reconnaît qu’il n’y a que quelques milliers de participants et certains reconnaissent avoir été trompés par les revendications LGBT.
Le monde de l’entreprise s’est associé aux symboliques LGBT dans un cycle où elles étaient associées (à tort) à des messages de tolérance. Aujourd’hui, les symboles LGBT sont associés à une dérive totalitaire, au wokisme, au charcutage d’adolescents mal dans leur peau. Le monde de l’entreprise osera-t-il faire marche arrière ? Cette intox est commune à tout engagement de gauche: être de gauche, c’est non seulement adhérer aux valeurs affichées aujourd’hui par la gauche, mais c’est signer un chèque en blanc sur toutes ses évolutions à venir. Et les adhérents qui refusent de se mettre à jour sont traités plus durement que ceux qui n’ont jamais adhéré…
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