Source [Causeur] : Il y a 160 ans avait lieu la bataille de Camerone, symbole encore vivant de l’esprit de sacrifice sur le champ de bataille.
« Ils furent moins de soixante opposés à toute une armée… » La phrase retentit un peu partout en ce 30 avril. Quel combat des géants fut le leur, qui opposa une poignée de ces légionnaires contre une marée de 2000 soldats mexicains dans une hacienda abandonnée ! Les légionnaires d’aujourd’hui, actifs et anciens, fêtent cet exemple de la grandeur et du sacrifice, du panache et du devoir ; on y célèbre plus encore que la bataille, c’est aussi le jour du culte des anciens et de l’héritage, car chaque légionnaire est héritier de cet héroïsme et chacun d’eux est dépositaire de ce mythe fondateur.
Et quel mythe ! Nous sommes en 1863 à Sidi Bel Abbes : les légionnaires du Régiment étranger, qui s’étaient illustrés non seulement comme combattants à Magenta et à Sébastopol, mais aussi comme bâtisseurs réputés en Algérie, embarquèrent sur les vaisseaux aux noms de Saint-Louis et Wagram pour atteindre les plages du Mexique. Il y a à l’aube du récit quelque chose qui invoque déjà l’épopée et les grandes destinées.
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