Source [Valeurs actuelles] Le rapport de l’inspection générale révèle plusieurs dysfonctionnements dans les jours qui ont précédé le drame.
Moins de deux mois après l’horreur de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) et l’assassinat de Samuel Paty, l’inspection générale de l’Education nationale a rendu un rapport censé éclairer sur le rôle de chacun, dans les jours précédant l’acte terroriste. On y apprend notamment l’attitude adoptée par la FCPE de l'établissement, association de parents d’élèves réputée à gauche.
L’administration dédouanée
« La FCPE, estimant qu'elle était 'dépassée' dans l'exercice du rôle de modérateur qui est le sien a conseillé au père, s'il considérait qu'il y avait harcèlement, de déposer plainte », peut-on lire, en référence au père d’une élève, particulièrement virulent à l’encontre de Samuel Paty, et qui a publiquement pris parti contre lui sur les réseaux sociaux.
Par ailleurs, le rapport dédouane l’administration de tout dysfonctionnement notable. « Tant au niveau de l'établissement qu'aux niveaux départemental et académique, les dispositions ont été prises avec réactivité pour gérer le trouble initialement suscité par le cours sur la liberté d'expression de Samuel Paty », peut-on lire.
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