Source [Valeurs actuelles] Alors que son numéro de téléphone personnel a été diffusé par un individu malveillant sur les réseaux sociaux, le journaliste reçoit depuis trois jours menaces et insultes. Il a décidé de porter plainte.
C’est une routine malsaine qui s’installe. Après son agression en plein Paris et les menaces de mort reçues par son avocat après son entretien dans Valeurs actuelles, Éric Zemmour a été, selon nos informations, la cible d'une centaine de messages à caractère injurieux et violents ces trois derniers jours. Vendredi 12 juin, son numéro personnel a été diffusé sur le réseau social Snapchat par un individu aux intentions, à l’évidence, peu bienveillantes. Excédé, le journaliste du Figaro et de Cnews a saisi son avocat, Maitre Olivier Pardo, qui déposera plainte, ce lundi 15 juin. « Des insultes d'une vulgarité sans nom, émaillés de menaces de mort sur lui et sur sa famille » ont ainsi été proférées, explique l'avocat d'Éric Zemmour, qui clame sa détermination: « Nous ne lâcherons rien ».
Ce dernier avait lui aussi fait l’objet de menaces de mort, par téléphone, à son cabinet, le 2 juin dernier, au lendemain de la parution de son interview exclusive sur le site de Valeurs actuelles : « Vous lui direz que s’il défend les sales juifs, les youds, les youpins, nous, les arabes, on va venir à son cabinet, on va lui faire la guerre. On va venir, on va lui faire un Charlie Hebdo, on va le tuer, on va tous vous tuer » avait proféré l’auteur des faits. Olivier Pardo avait déposé plainte contre X, et déclaré son intention de se constituer partie civile, en cas de poursuites contre l’auteur, qui avait laissé apparaître son numéro.
Retrouvez l'intégralité de l'article en cliquant ici
- François Bayrou : fossoyeur du macronisme et sa...
- Coalitions, stratégies : le NFP se fissure sur...
- Guillaume Bernard : Le RN, dindon de la farce d...
- « La finalisation de l’accord UE-Mercosur est e...
- Le haut-fonctionnaire « woke », Martin Ajdari,...
- Automobiles : Vers un malus masse et CO2 rétroa...
- « Twitter, faut le réguler ou l’interdire, c’es...
- Dominique Perben : « Le Syndicat de la magistra...
- En Nouvelle-Calédonie, il est urgent d’attendre
- 17-22 novembre : Ouvrons les yeux sur la perséc...