Source [Le Salon Beige] Un groupe des droits de l’homme des Nations Unies a critiqué plusieurs États américains parce qu’ils ont déclaré cette semaine que l’avortement était un service non essentiel pendant le confinement lié au COVID-19, en affirmant que « l’avortement légal et sûr » est un élément clé des « prestations de service de santé sexuelle et reproductive ».
Le groupe a également dénoncé une récente lettre du chef de l’agence des États-Unis d’aide à l’étranger appelant à la suppression de l’expression « santé sexuelle et reproductive » d’une résolution de l’Assemblée mondiale de la santé.
La déclaration est venue du Groupe de travail sur la discrimination à l’égard des femmes et des filles, qui fait partie des Procédures Spéciales du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies. Les États-Unis se sont retirés du Conseil en 2018. La déclaration a ensuite été approuvée par les rapporteurs spéciaux des Nations Unies, dont le mandat couvre la santé et la violence à l’égard des femmes. Celles-ci font partie des Procédures Spéciales de l’ONU.
- Oui, perdre un enfant à naître est une souffrance
- Le 7 juillet : il faut faire échec à la collusi...
- Propagande LGBTQXYZ en maternelle et primaire p...
- Edouard Philippe et François-Xavier Bellamy sou...
- Menace d’interdiction totale de la liturgie tra...
- Quimper : les fidèles entendent maintenir leur...
- Pour favoriser l’union des droites, Eric Zemmou...
- Victoire judiciaire d’un couple catholique empê...
- Sarah Knafo : “La classe politique considère qu...
- Laïcité ? Emmanuel Macron veut prononcer un dis...