[Source : Médias Presse Infos]
Le gouvernement l’avait promis : la jungle de Calais allait être démantelée.
Mais rien n’a changé. Et la sauvagerie y règne encore, comme a pu s’en rendre compte une équipe envoyée sur place pour préparer un reportage pour France 5. La femme de 38 ans qui servait d’interprète pour le journaliste a été sauvagement violée dans la nuit de lundi à mardi.
Le journaliste qui l’accompagnait a été agressé et son matériel lui a été dérobé.
Pascal Marconville, procureur de la République de Boulogne-sur-Mer, a déclaré :
«Le viol a été confirmé par un médecin légiste qui a examiné la victime.»
«Des prélèvements génétiques ont été réalisés pour identifier l’auteur du viol.»
«Trois individus parlants pachtoune les ont abordés à proximité du camp. Ils ont dans un premier temps volé le matériel de tournage. L’un d’eux a ensuite violé l’interprète sous la menace d’un couteau pendant que les deux autres, également armés de couteaux, tenaient à distance le journaliste.»
Pierre-Alain Depauw
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Et quand bien même l'auteur est identifié, qu'en fera t-on ? Quelle peine ? Vu le laxisme de notre justice, vu notre code pénal risible, les voyous islamistes (il ne faut pas dire musulmans car tout le monde sait que l'islam respecte la femme surtout lorsqu'elle n'est pas musulmane) vont découvrir qu'ils peuvent s'adonner à leur loisir préféré puisqu'il n'y a pas de peine réelle. Les viols vont redoubler.