Source [Valeurs actuelles] Cette mesure semble n’avoir aucun lien avec l’affaire des vidéos intimes de l’ancien candidat à la mairie de Paris.
Depuis samedi 15 février, Benjamin Griveaux est protégé par le Service de la Protection (SDLP). Selon Le Parisien, l’ancien candidat à la mairie de Paris, englué dans une affaire de diffusion de vidéos intimes à caractère sexuel, bénéficie désormais de deux policiers de ce service d’élite de la Police Nationale pour assurer sa sécurité.
Cette nouvelle protection ne semble pourtant pas liée aux récents événements. « Des menaces ont été détectées qui dépassent le cadre de l’affaire de la vidéo », confient des sources policières au quotidien francilien, ne précisant pas leur typologie, qui reste confidentielle. Mais ce n’est pas la première fois que Benjamin Griveaux fait l’objet de menaces et d’attaques violentes. Déjà le 5 janvier 2019, le ministère de celui qui était alors porte-parole du gouvernement avait été pris d’assaut par un engin de chantier piloté par des « gilets jaunes » en marge d’une manifestation. En plein interview, il avait dû être exfiltré pour sa sécurité. Quelques jours plus tard, le 12 janvier, c’est la résidence secondaire du porte-parole qui avait été visée en Saône-et-Loire par une cinquantaine de manifestants. Finalement, les assaillants avaient renoncé devant les importants renforts de gendarmerie déployés sur les lieux.
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