Source [Valeurs actuelles] L’attaquant de l’équipe de France de football promeut le drapeau LGBT sur les réseaux sociaux pour un match de l’Euro contre la Hongrie. En fera-t-il de même l’an prochain, lors de la Coupe du monde au Qatar, où l’homosexualité est passible de la peine de mort ?
Il a mis toute son indignation dans un tweet. Avec un drapeau et un poing serré. Sans se fouler du moindre mot. Quelques heures avant le match décisif de l’équipe de France contre le Portugal à l’Euro 2020, Antoine Griezmann a voulu rappeler au monde qu’il soutient la communauté LGBT. En cause, le refus d’illuminer le stade de Munich aux couleurs arc-en-ciel, lors d’une rencontre entre l’Allemagne et la Hongrie. L’UEFA, qui organise la compétition de football, estime que cette demande, provenant de la mairie de gauche de Munich, est « politique » et vise spécialement la Hongrie de Viktor Orbán.
En 2019, déjà, Antoine Griezmann faisait la une du magazine LGBT Têtu en clamant : « L’homophobie dans le foot, ça suffit. » A ses côtés en équipe de France, l’attaquant se réjouit pourtant du retour de Karim Benzema. « C’est un vrai kiff de le revoir avec le maillot bleu », a-t-il lancé au Figaro. En 2015, le même Benzema traitait son coéquipier Mathieu Valbuena de « tarlouze », au moment de l’affaire de chantage à la sextape. Ancien joueur de l’équipe nationale de Tunisie, Ouissem Belgacem n’hésite pas de son côté à dénoncer les codes de l’islam et ceux de la cité qui font du sujet un tabou absolu. « Être gay ou être footballeur, j’ai dû choisir », explique-t-il à La Dépêche en mai 2021.
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