![La France a longtemps été protégée de l’épidémie mondiale d’obésité. Ça n’est plus le cas La France a longtemps été protégée de l’épidémie mondiale d’obésité. Ça n’est plus le cas](/var/afsp/storage/images/actualite/decryptage/la-france-a-longtemps-ete-protegee-de-l-epidemie-mondiale-d-obesite.-ca-n-est-plus-le-cas/255030-1-fre-FR/La-France-a-longtemps-ete-protegee-de-l-epidemie-mondiale-d-obesite.-Ca-n-est-plus-le-cas_visuel.jpg)
Source [Atlantico] : Le taux d'obésité en France est encore inférieur à celui des États-Unis, du Mexique ou de la Grande-Bretagne. Mais la tendance suscite des inquiétudes en France sur le plan de la santé publique, notamment pour le diabète.
Atlantico : Dans quelle mesure l'obésité est-elle un problème en France ?
Antoine Flahault : Seule ce que l’on définit comme l’obésité morbide représente un problème de santé publique, c’est-à-dire celle pour laquelle l’index de masse corporelle (IMC) dépasse la valeur de 35 kg/m2 (formule divisant le poids par la taille au carré). Il y a de nombreuses publications scientifiques qui montrent en effet ce qu’on appelle aujourd’hui le « paradoxe de l’obésité ». Le surpoids (IMC entre 25 et 30) et même l’obésité modérée (IMC inférieur à 35) sont associés à une espérance de vie respectivement meilleure ou équivalente à celle des personnes dites de poids normal. Les véritables problèmes de santé publique concernent donc d’abord les 5% de Français trop maigres, c'est-à-dire celles ayant un poids inférieur à la normale (IMC < 18,5) et ensuite les 5% ayant une obésité morbide (IMC > 35).
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