Source [Le Figaro] : La suppression du sentiment du sacré dans la société contemporaine a pour conséquence un glissement moral et esthétique vers le bas argumente l’helléniste Andrea Marcolongo*. Elle invite à puiser dans la sagesse grecque pour renouer avec ce besoin humain de croire.
Il y a quelques semaines, j’ai eu le privilège d’accompagner à Athènes un groupe de lecteurs curieux de découvrir ce miracle de culture et de science qu’était la Grèce classique. En discutant avec eux dans l’ancienne agora, j’ai réalisé à quel point eux, les anciens Grecs, orientaient leur philosophie et leur mode de vie vers la poursuite du bonheur. Et combien en comparaison nous, les modernes, avons l’air non pas malheureux mais carrément déprimés.
Le binôme classique «beau et bon» n’était rien d’autre que l’analyse de ce qui rend l’homme heureux ici sur terre, mais toujours avec un œil vers le ciel.
Retrouver l'intégralité de l'article en cliquant ici
- Donald Trump, les perspectives d’une élection
- Comment la France peut supprimer 150.000 postes...
- Immigration : comme l’Italie, la France devrait...
- Amende, peine de prison... Avec son don quotidi...
- «Il n’y a pas un avant et un après Samuel Paty,...
- LGV du Sud-Ouest : en Gironde, des milliers de...
- Mathieu Bock-Côté : «L’État de droit divin»
- Justice: une association va attaquer la limitat...
- À trop s’occuper de la surpopulation carcérale,...
- «Un échec de la politique du maire» : Orvault,...