Source [Le Figaro] : Le déficit commercial extérieur abyssal de notre pays et l’état désastreux de nos finances publiques pèsent lourdement sur la zone euro, estime l’essayiste. Elle redoute une procédure européenne qui priverait la France d’une partie de sa souveraineté budgétaire.
La BCE vient d’annoncer un nouveau dispositif pour racheter encore massivement des dettes publiques d’États membres qui seraient attaqués sur leurs taux par les marchés. Cela pour éviter une nouvelle crise de la dette en zone euro. Officiellement, c’est parce que les taux d’intérêt entre la dette italienne et la dette allemande se sont écartés, mais, en réalité, il y a aussi derrière cette décision l’ombre de la situation financière de la France, deuxième pays de la zone en richesse, mais un pays endetté, au déficit du commerce extérieur abyssal et aux finances publiques exténuées. La crainte d’une crise de la dette en zone euro ne serait pas aussi forte si la France avait des finances publiques saines.
La possible fragmentation de la zone en deux camps devient possible, car la France a peu à peu basculé dans le camp des pays du sud de l’Europe, à force de procrastination sur les réformes, de drogue…
Retrouver l'intégralité de l'article en cliquant ici
- À Nanterre, un an après la mort de Nahel et les...
- «Tout va exploser en plein vol» : en Algérie, l...
- Législatives : Gabriel Attal en première ligne...
- Bloc national contre gauche radicale: la dissol...
- Anne de Guigné: «Seule certitude des prochains...
- «Il n’y a pas eu de vague populiste en Europe,...
- Fin de vie : «Derrière l’apparente “bienveillan...
- Droite marginalisée et gauche surexposée : révé...
- Tour de vis, bonus-malus, seniors… Que contient...
- Parlement européen : le RN ne siégera plus avec...