Source [Breizh-Info] : Pendant que les autorités françaises prennent vos impôts, charges, prélèvements sociaux, notamment pour envoyer de l’argent à l’Ukraine ou à l’Afrique (aide au développement), cette semaine, la protection civile a dû venir aider les personnels du service hospitalier de Saint-Nazaire.
« Pour la première fois, nous avons dû faire appel à la protection civile pour aider les gens en attente pour les besoins essentiels : les repas, aller aux toilettes. Même pendant le Covid, cela ne nous était pas arrivé. » indique Julien Couvreur, directeur de l’hôpital de Saint-Nazaire à l’Echo.
Les opérations chirurgicales non urgentes continuent d’être déprogrammées, et cela va continuer « certainement jusqu’à mi-janvier ».
Globalement, la majorité des hôpitaux bretons sont sous tension : manque de personnel, arrêts maladie à la pelle du fait des conditions de travail, soignants suspendus, mais aussi comportements parfois lamentables de certains patients qui veulent tout, tout de suite, et parfois pour n’importe quoi. La France se tiers-mondise au quotidien.
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