Les arrestations contre des jeunes Français soucieux de se défendre à l’occasion des débordements provoqués par des supporters marocains en France lors de la Coupe du Monde sont un nouvel exemple déplorable de l’hostilité de l’Etat français vis-à-vis des natifs. Une vexation qui tourne parfois à la persécution et qui nous appelle à nous serrer les coudes.

Cette jeunesse fait notre fierté

 

A l’issue de la demi-finale de Coupe du Monde de football au Qatar opposant l’équipe de France à celle du Maroc, des Français ont été lynchés dans les rues de nombreuses grandes agglomérations. Ces scènes de violences, qui étaient prévisibles, ont fait l’objet d’alertes auprès du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin – notamment par le député RN de Haute-Marne Laurence Robert-Dehault – et ont été moquées. Pourtant, mercredi soir, un marocain de 16 ans a été écrasé alors qu’il participait à l’agression d’un automobiliste. Dans ce contexte de violence généralisée et ciblée (contre les porteurs de drapeau tricolore), des jeunes Français ne se sont pas résignés et ont décidé de se défendre. L’État et ses services, appuyés par la propagande d’extrême gauche, ont profité de l’occasion pour orchestrer une prétendue « menace d’extrême droite ». Des dizaines de jeunes français ont ainsi été arrêtés préventivement pour des motifs fumeux comme « attroupements ». Placés en garde à vue, pointés du doigt car ils ne veulent pas baisser les yeux. Il est important d’avoir à l’esprit que parmi ces jeunes Français, certains subissent un véritable acharnement judiciaire qui va jusqu’à l’interdiction de se rendre à Paris. Une privation d’accès à un berceau d’emplois qui en dit long sur la volonté d’assassinat social des autorités.

 

Les sentinelles prises pour cible

 

La prise de conscience de l’injustice qui frappe les Français saute aux yeux. Les poursuites contre ces jeunes gens s’inscrivent dans une lame de fond. Ceux qui se défendent mais aussi ceux qui disent ou relaient de simples vérités sont pointés du doigt, même lorsque leur travail est irréprochable.
Ainsi, le fondateur du site d’actualité Fdesouche, Pierre Sautarel, se trouve aujourd’hui dans une situation très délicate. Les organisations d’extrême gauche et communautaristes s’acharnent contre un site qui est une caisse de résonnance insupportable à leurs yeux et contre le travail d’investigation de son animateur.

 

Attaqué de toute part, le fondateur du site, qui alerte sur la situation sécuritaire du pays et les méfaits de l’immigration depuis 17 ans, se voit dans l’obligation de trouver quelques 34 000 euros avant la fin de l’année. Une collecte est organisée à son profit, collecte non défiscalisée qui n’entre donc pas en concurrence avec les multiples sollicitations de l’écosystème associatif en cette fin d’année.

 

Ensemble, faire front !

 

Cette fin d’année est en effet une période de récolte de fonds pour bon nombre d’associations. Une période qui peut agacer. En effet, la situation économique et sociale déplorable touche une partie non négligeable des nôtres. Pourtant, c’est un passage obligé pour les structures associatives : médias alternatifs, associations pro-vie, laboratoires d’idées… Un environnement qui vit du soutien de ses donateurs et pas (ou très peu) des subsides publics comme les associations immigrationnistes (SOS Méditerranée) ou les « ligues de vertu » (LICRA, SOS Racisme…).

La défiscalisation des dons (possible chez Liberté Politique) est une arme ; le don sans défiscalisation l’est aussi ! Si la lassitude peut frapper certains d’entre nous, il faut avoir à l’esprit que les combats menés se gagnent dans le temps long et que les résultats du labeur d’aujourd’hui ne sont pas nécessairement pour nous mais pour nos enfants, petits-enfants. Le panel des associations en présence et des causes justes (religieuses, profanes, politiques, culturelles et même écologiques) est tel que chacun peut trouver un projet à soutenir.

 

Si l’Etat et ses représentants ne veulent pas de nous, ayons le meilleur des réflexes : celui de construire nos propres citadelles !