Source [Riposte Laïque] Cette dernière fin de semaine, j’ai transité rapidement par Béziers (une soirée et une matinée) et j’ai pu constater de visu qu’à Béziers, le Grand Remplacement est en bonne marche. La ville est devenue arabe et musulmane. Après avoir été grecque, puis romaine, puis gallo-romaine, puis très longuement française…
Le soir nous dînons sur les belles allées Paul Riquet. C’est à la fois mélangé et séparé. Les Français de souche dînent dans les restaurants présents, tandis que sur les bancs des allées sont vissés les Arabes, avec des femmes bien voilées, qui font jouer leurs enfants au frais mais ne dînent pas.
Le restaurateur nous explique que la ville a bien changé, et sa grimace est significative.
L’un de nous veut voir un monument aux morts pour la France situé dans l’église Saint-Jacques, sur lequel figure son grand-père, décédé en 1916.
Nous allons donc voir cette église le lendemain matin. Une ravissante église romane de l’époque carolingienne, qui était la paroisse de sa grand-mère décédée il y a des années. Mais il se souvenait parfaitement d’une église pleine à craquer le dimanche, près de quarante ans plus tôt.
Nous sommes arrivés devant l’église à l’heure où, dans une église normale, à une époque normale, aurait dû se terminer la messe de neuf heures trente et bientôt commencer celle de onze heures. Donc il aurait dû y avoir du monde.
Personne, pas un chat, église fermée. La place est déserte à part un grand Arabe sur un banc au soleil.
Nous rencontrons un habitant du quartier et l’interrogeons ; il nous dit que l’église Saint-Jacques n’a plus aucun office depuis quelques années. Il y a eu un « regroupement de paroisses » , terme qui signifie que les paroissiens se raréfient. Il habite lui-même sur la place, ravi du panorama mais dégoûté par ses voisins (il n’en dit pas plus mais nous comprenons…) Il sonne à l’ancien presbytère voisin de l’église, pôle maintenant de la » pastorale des migrants », euphémisme de dhimmitude et de relativisme actuel de la hiérarchie catholique bergogliesque…
Une dame nous ouvre et nous explique que l’endroit est habité par des religieuses missionnaires.
Elle nous donne la clé de l’église, nous allons la visiter et constatons de nos yeux que la plaque avec le nom du grand-père n’existe plus. Le patriotisme, c’est ringard. Les monuments aux morts, également. On essaie donc de les faire disparaître. Le « petit-fils » fulmine.
En fait l’église dépend maintenant du ministère de la Culture, si nous avons bien compris, qui y tolère des activités musicales le mercredi, et quelques activités liées au chemin de Saint Jacques, un point c’est tout. Il est très difficile, nous a-t-on expliqué, d’y avoir une messe.
L’église sans office ?… « Eh oui chers amis, c’est parce que le quartier est devenu musulman », nous dit sans ambages mais en souriant la religieuse à laquelle nous rendons la clé. Cela n’a pas l’air de trop la déranger. Il n’y avait plus que très peu de gens pour aller à ces messes alors on a délocalisé ailleurs et les gens et les messes… explique-t-elle.
Retrouvez l'intégralité de l'article en cliquant ici
- Une majorité 'Renaissance' : retour de l'état d...
- Faut-il voter dimanche : le point de vue de Jac...
- Hollande, Valls et Cazeneuve devant les juges ?
- L'économie en baisse vertigineuse en France et...
- Vers le krach du siècle
- L'écrasante victoire monétaire de Poutine
- Ukraine : preuves de l’entière responsabilité d...
- La liberté, pour les antifas seulement
- Claude Malhuret, candidat au ministère de la Santé
- Vers un nouveau krach boursier en 2022 ?