Mayotte, ou l’insoutenable fardeau colonial : pour en finir avec ce gouffre financier et identitaire [L’agora]
Article rédigé par Breizh-Info, le 18 décembre 2024 Mayotte, ou l’insoutenable fardeau colonial : pour en finir avec ce gouffre financier et identitaire [L’agora]

Source [Breizh-Info] : Mayotte, petite île perdue dans l’océan Indien, est une blessure ouverte, une absurdité politique, et surtout, un vestige anachronique du colonialisme que la France s’évertue à maintenir sous perfusion. Aujourd’hui, après le passage dévastateur d’une tempête qui a une fois de plus mis en lumière la faillite totale de cette île artificiellement française (la population y est abandonnée par les autorités qui s’en prétendent de tutelle), il est temps de poser la seule question qui vaille : pourquoi Mayotte est-elle encore française, européenne ?

Regardons les choses en face : Mayotte n’a jamais été, n’est pas, et ne sera jamais française ni européenne. Ni culturellement, ni religieusement, ni ethniquement. Mayotte est une enclave africaine en Europe. À quoi bon (un peu comme Ceuta et Melilla avec l’Espagne) s’accrocher à cette île où 98 % de la population est musulmane, où la langue dominante est le shimaoré, et où le droit coutumier autorise encore des pratiques totalement incompatibles avec nos traditions et nos racines ? Mayotte est un corps étranger greffé de force à la France. Et, comme toute greffe rejetée, elle n’apporte que souffrance et désordre.

Après chaque incident, chaque catastrophe naturelle, Mayotte tend la main à la métropole, exigeant des milliards pour réparer des infrastructures déjà vétustes. Cette île est un gouffre financier : RSA, aides sociales, constructions d’écoles, envois de renforts sécuritaires… La facture ne cesse de grimper, pour quel résultat ? Un archipel rongé par la pauvreté, l’insécurité et une immigration incontrôlée. Les contribuables français payent sans broncher pour maintenir cette chimère d’un département français exotique, alors que leurs propres services publics s’effondrent. Combien de temps allons-nous encore tolérer cet absurde gaspillage ?

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