Article rédigé par Valeurs actuelles, le 04 février 2023
Source [Valeurs actuelles] : Installées dans les quartiers prioritaires, les écoles de la fondation Espérance Banlieues accordent une attention particulière à l’épanouissement scolaire des élèves. Dix ans après sa création, le réseau continue son expansion. Une réussite dont pourrait s’inspirer l’Éducation nationale.
Au Nord de Sartrouville, dans le département des Yvelines (78), le cours Charles Péguy accueille 60 élèves, du CP à la 5ème. Chaque semaine, les enfants montent les couleurs dans la cour de l’école. D’une seule voix, ils chantent la Marseillaise. Tous portent un uniforme, vert pour les garçons, bordeaux pour les filles. Ici, les classes n’excèdent pas 12 élèves. Dans la petite école francilienne, cinq règles d’or : joie, altruisme, travail, vérité et propreté. L’objectif de tous ces principes est de développer, en parallèle de l’enseignement, un attachement à la culture française.
Des établissements comme le cours Charles Péguy, le réseau Espérance Banlieues en compte dix-sept, répartis dans toute la France. Bientôt, la dix-huitième école ouvrira à Bordeaux. Depuis sa création en 2012, Espérance Banlieues a formé 3 150 élèves, du primaire au collège, dans les réseaux d’éducation prioritaires (REP). Un réel succès.
« Le matin, moi je me réveille, je suis heureux d’aller à l’école, j’ai de l’énergie pour travailler », s’enthousiasme le petit Mehdi, dans une vidéo Youtube diffusée par l’association. Le garçon est en CM1 au cours Ozanam, dans un quartier prioritaire de Marseille. Ses camarades partagent son enthousiasme.
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04/02/2023 01:00