Article rédigé par Fdesouche, le 12 octobre 2022
Source [Fdesouche] : Avant son voyage en Algérie le 9 et 10 octobre, Elisabeth Borne s’exprime sur les sites algériens TSA et El Khabar, sur sa visite ce dimanche 9 octobre en Algérie, la question des visas, le gaz, la mémoire, le rôle de la diaspora algérienne, le Mali…
La décision des autorités françaises de réduire « drastiquement » le nombre de visas délivrés aux ressortissants des pays maghrébins, dont l’Algérie, a durement affecté les relations bilatérales entre les deux pays. La dernière visite de M. Macron a-t-elle ouvert une perspective de dénouement positif pour ce dossier sensible ?
Délivrer un visa est un acte de souveraineté. Nous souhaitons clarifier notre approche commune de l’immigration pour être plus constructifs et mettre en avant la mobilité choisie des étudiants, des entrepreneurs, des responsables politiques, des chercheurs, des acteurs culturels et sportifs, en étant aussi plus rigoureux dans la lutte contre l’immigration clandestine.
Nous dialoguons avec les autorités algériennes pour faire en sorte que notre coopération en matière migratoire soit plus fluide et plus efficace, car le renforcement des mobilités légales et le découragement des mobilités illégales ne peut qu’être un intérêt partagé.
Contrairement à ce qu’on entend souvent, la France n’a pas cessé de délivrer de visas aux Algériens, puisque plus de 85 000 visas ont été délivrés cette année au 31 août, alors que les conditions de circulation étaient encore contraintes par la crise sanitaire.
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12/10/2022 01:00